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Étude de la pièce de théâtre Les Justes d'Albert Camus

Note de Recherches : Étude de la pièce de théâtre Les Justes d'Albert Camus. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  9 Juin 2013  •  612 Mots (3 Pages)  •  1 131 Vues

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CAMUS LES JUSTES

Albert Camus né le 7 Novembre 1931 en Algérie et mort le 4 Janvier 1960. Romancier mais aussi dramaturge, il écrira Les justes en 1949 et d'autres romains comme La Peste ou encore L'homme Révolté

Pièce inspirée de fait réels le 17 février 1905 le groupe terroriste des révolutionnaires sociaux, dont Ivan Kaliayev, a commis un attentat sur le grand-duc russe. D’après cet événement, Camus a fait un drame en cinq actes.

Acte II présente l’altercation entre Yanek et Stepan des révolutionnaires. Yanek devait lancer la bombe contre le Duc mais à cause de deux enfants il ne le fait pas, se dispute avec Stepan.

Problématique

Camus impose ici une réflexion idéologique sur les engagements politiques et la limite étroite entre être un justicier et un assassin (ligne 97-99 '' je vois s'annoncer un despotisme qui, s'il s'installe jamais, fera de moi un assassin alors que je veux être un justicier''). On sent aussi son engagement et l'importance qu'il tient à l'humanité et à la valeur de la vie humaine (ligne 44-46 Des centaines de nos frères sont morts pour qu'on sache que tout n'est pas permis.'') La révolution contre la tyrannie du tsar n’engendre-t-elle pas la naissance d’un nouveau despotisme où le justicier deviendrait assassin ? Quelle est la grandeur de la vie dans cette problématique ?

Cela une vraie réflexion sur les limites et les contradictions de l’engagement idéologique. J

Jusqu'à où un homme pourrait et/ou devrait aller pour instaurer selon son idéologie et changer les choses ?

Analyse de la pièce

Durant les événements nous pouvons constater qu’à l’intérieur du groupe révolutionnaire il y as deux courants :

le premier et celui de Kaliayev et le deuxième celui de Stepan; pour Kaliayev la révolution n’as pas pour but de tuer ni détruire et il ne faut jamais comparer un révolutionnaire avec un terroriste sinon la révolution sera rejeter même par le peuple, la révolution est aussi un amour, amour pour un demain plus sûre qu’aujourd’hui et les meurtres qu’ils sont commis non pas par des raisons personnelles mais ce sont des attentas contre les symboles du terreur et du tyrannie tout comme pour Dora. Pour eux il y a des limites. Altruisme ligne 24 '' et si l'humanité entière rejette la révolution ? '' elle doit être acceptée.

Stepan vois le contraire, la révolution pour lui c’est de créer le terreur, de détruire et cela était évident dans ses paroles quand Kaliayev n’as pas pu tuer les deux enfants, pour lui tuer ces deux enfants c’est tuer deux terroristes d’avenir et tuer ces deux enfants c’est donner la vie aux enfants du peuple. Veut la liberté pour le monde entier, utopie radicale.

Ces deux courants mettent l’accent sur une problématique très complexe, et nous mène à poser une question très importantes ; est ce qu’ils sont JUSTES ? La mort se justifie t-elle par l'idéologie politique ?

On assiste ici à l'emploi du registre polémique où chaque personnage donnera ses argument pour convaincre

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