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Étude de la pièce de théâtre Dom Juan de Molière: Dom Juan et la religion

Note de Recherches : Étude de la pièce de théâtre Dom Juan de Molière: Dom Juan et la religion. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  20 Novembre 2013  •  355 Mots (2 Pages)  •  4 668 Vues

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Juste avant d'écrire Dom Juan, Molière écrit Tartuffe, mais cette pièce ne fut pas autorisé à être jouée en publique, en raison des deux sujets majeurs de la pièce : l’hypocrisie (des dévots notamment) et la critique de la religion. C'est alors que Molière écrit Dom Juan en 1962. Mais cette pièce créa également un scandale religieux comme la précédente, ce qui vaudra à l’œuvre d'être censuré un moi après seulement la première représentation.

Le personnage principale de cette pièce, Don Juan est un réel adepte du libertinage. On peut même dire que ce personnage est athée « Je crois que deux et deux sont quatre », répondit il à Sganarelle quand il lui demanda en quoi croyait – il après lui avoir demandé s'il croyait au ciel.

De plus, tout au long de la pièce, Don Juan ne cesse d'exposer son hypocrisie et sa conception très matérialiste du monde. Il ira même à vouloir devenir homme pieux, faussement et malicieusement. Évidemment, il fait cela afin de tirer profit de cette situation en étant en pouvoir de pouvoir critiquer et juger qui que ce soit en se valorisant, et bien sur pouvoir justifier chacun de ses faits et gestes en disant que c'est Dieu qui l'a voulu, comme avec Done Elvire, en lui disant que Dieu ne voulait pas qu'il soit avec elle, alors que Don Juan, la bafouant sans aucun scrupule, ne voulait qu'une raison pour s'en débarrassé.

Don Juan de plus, tout en étant le plus hypocrite, accuses les dévots de l'être, tout en disant que l'hypocrisie et un vise à la mode, et que chaque vise passe pour vertu. De ce fait, il critique vivement les dévots d'hypocrites ce qui n'ait pas plaisant pour l'Eglise.

A la fin de la pièce, ce personnage qui est impie, ose défier Dieu lorsqu'il refuse de ce repentir. Certain interpréterais que sa mort est un châtiment divin suite à cet énième affront.

Tout cela confirme donc que Don Juan ne croit pas en Dieu et qu'il se moque de la religion, et c'est ce qui fâche l’Église, puisque le personnage de Molière est donc un partisan du libertinage.

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