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Étude de l'acte III, scène 1 la pièce de théâtre Dom Juan de Molière: Les Ressorts Comiques

Rapports de Stage : Étude de l'acte III, scène 1 la pièce de théâtre Dom Juan de Molière: Les Ressorts Comiques. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  28 Octobre 2013  •  399 Mots (2 Pages)  •  1 125 Vues

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Dom Juan

Les ressorts comiques

Nous allons montrer que l'orateur n'a pas un argumentaire incensé tout au long de son récit, mais il finit pas de discréditer et devient ridicule.

Nous mettrons en évidence qu'il tient des propos incohérents.

Ensuite nous montrerons que son attitude va à l'encontre de son raisonnement.

L'argumentaire de Sganarelle concernant la présence implicite d'un créateur est des plus sensé :" je voudrais bien vous demander qui a fais ces arbres-là, ces rochers, cectte terre, et ce ciel que voilà là-haut, et si tout cela c'est batit de lui même " (L.92-94)

Sa réthorique est presque paraite puisqu'il explique clairement que tout ce qui existe sur terre ainsi que la complexité de l'homme n'ont pas pu naître de rien. Il faut bien qu'il y ai un créateur c'est a dire un dieu.

"Pouvez-vous voir toutes les inventions dont la machine de l'homme est composée sans admirer de quelle façon cela est agencé l'un dans l'autre?" (L.97-99)

Cet argumentaire ce termine des plus mal avec l'énuération des parties du corp humain qui est en décalage avec l'existence de dieu :"ces nerfs, ces os, ces veines, ces artères, ces..., ce poumon, ce coeur, ce foie, et tous ces autres ingrédients qui sont la et qui..." (L.99-101) cela relève plus de la science que de la religion.

Le bon orateur qu'il était ce discrédite également en utilisant un vocabulaire grossier et le rend ridicule :" n'a t'il pas fallu que votre père ait engrossé votre mère pour vous faire" (L.96-97). D'autre part son raisonnement au niveau de la religion est douteux : "Il n'y a rien de plus vrai que le moine bourru et je me ferais pendre pour celui là." (L.75-77) Içi il apparait plutôt comme superstitieux au lieu de quelqu'un qui a la foi.

Sganarelle va termeiner sa démonstration sur l'éxistence d'un dieu par une phrase qu'il ne va pas finir: "ces autres ingrédients qui sont la et qui..." (L.100-101), il est à court d'argument, incapable de poursuivre son raisonnement, il va se lancer dans un spectacle: " Je veux frapper des mains,... tourner,... (il se laisse tomber en tournant.)" (L.110-112).

En terminant en tombant ainsi, il se discrédite et devient un personnage ridicule.

Sganarelle étant un bon orateur on attend de lui un discours sérieux et soutenu, au contraire il se discrédite et se ridiculise en utilisant un vocabulaire comique et familié. Agacé par l'hatitude de Don Juan, Sganarelle finit par abandonné son argumentation.

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