Étude de La confession de Phèdre: une amour coupable dans la pièce de théâtre Phèdre de Jean Racine

La confession de Phedre: une amour coupable

- Le sentiment de culpabilité :

- Phèdre est victime des Dieu

honte atténué pat des périphrases, elle ne désigne ni son mari ni Hypollite elle utilise «  fils d’Egée » pour désigné Thésée et «  superbe ennemi » pour désigné Hippolyte.

- Thésée est présent dans les pensées de Phédre : « paternels »

- elle tente de justifier son infamie en dissociant les parties de son corps: «  ma bouche » opposé au pronom « je » et « mes yeux » a « je » . Elle ne semble pas assumer l’amour qu’elle porte a Hippolyte.

- Son mal est à la fois physique et mentale:

-Champs lexical du corps: yeux, corps, ma main, 

accumulation vers 5 «  je le vis, je rougis, je palis » dérèglement des sens chez Phèdre elle ne peut plus de contrôler

-Physiquement son amour et ça culpabilité est tellement forte «  mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler »

-Métaphore et polysindète : air solennel et ralentissement du rythme vers 8 «  je sentis tous mon corps et transir et bruler » répétition du « et » insistance pour montrer la douleur

- Elle perd toute sens de la raison «  raison égarée »

- Ces sens sont déréglé Hippolyte devient un dieux «  J’offrais tous a ce Dieu »

- Méthonymie «  en vain sur les auteurs ma main brulait l’encens »: Phèdre cherche a se faire pardonner

Phèdre est victime des Dieu et dominé par la passion

Idéalisation de Hippolyte:

- Oxymore «  superbe ennemi » met un accent sur les efforts que Phèdre fait pour essayer de renier son amour

- Négation vers 20 «  je n’osais le nommer » montre son manque de courage et culpabilité

- Hyperboles V18 « j’adorais Hippolyte », «  le voyant sans cesse » elle est obséder par Hyppolite

-La fatalité «  mon mal vient de plus loin »; notion d’hérédité

- Prière a Vénus: la déesse qui la punit

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