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Une Vie, Maupassant : Chapitre 6 extrait 2

Fiche : Une Vie, Maupassant : Chapitre 6 extrait 2. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  13 Janvier 2020  •  Fiche  •  727 Mots (3 Pages)  •  1 667 Vues

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Une Vie, Maupassant : Chapitre 6 extrait 2

Commentaire linéaire : analyse lignes par lignes, mots par mots

Premières impressions : ennui – déception – mélancolie – espérances – narrateur point de vue interne > Jeanne

Texte en 3 mouvements : Interrogation – Jeanne démunie de réponses

Occupation : « faire » - « besogne » => interrogation Jeanne

Négation forte : « n’avait point envie »

« Et elle songeait à une promenade » verbe inquiétant => rêve – contradictoire

« Mais » opposition même phrase marque un arrêt dans la phrase

  • « semblait » : Jeanne dramatise – transfert sentiments => nature

Lecteur – nature sont enfermés dans Jeanne : début texte Jeanne heureuse belle nature  puis Jeanne triste mélancolique – nature fade – pluie automne

  • Verbes définissent Jeanne : jamais verbe d’action ni réflexion - toujours des verbes de perception, de rêve, passifs
  • Tête Jeanne narrateur informe malheur Jeanne le narrateur a de la distance avec Jeanne dit elle est comme ça parce que …
  • Mère « pesanteur mélancolique » côté concret mélancolie => grosse – même phase que Jeanne « remplie » nourriture sentiment être vide existence - c’est le sort d’une femme de l’aristocratie
  • « Alors elle s’est aperçue » verbe constat – subjectif
  • « qu ‘elle n’avait plus rien à faire, plus jamais rien à faire » beaucoup négations – rien – vide jamais – rien maintenant rien après - compare passé « faire » répété – gradation
  • A partir de là – analepse – passé composé – mouvement retour passé
  • « Préoccupait » - « occupation » avant très occupée par avenir – avant venir couvent
  • « Affairée » couvent « faire » - en réalité pas vraiment occupée – occupé songes – nostalgie – passé/présent ne fait toujours rien – enjolive passé rien # songeries – pluriel – phrase binaire – opposition – plonge inconscience de Jeanne
  • Champ lexical temps : « continuel » - « en ce temps-là » - « ces heures » - perception  - révolu, nostalgie – couvent regrets – voulait sortir – normalement vieux disent ça
  • « sentit » - sensation toujours pas d’action  - phrase insiste fait rempli – remplie de rêves
  • « puis à peine sortie » résume vie – sommaire – triste – très rapide
  • « Couvent » - « à peine sortie » murs austères plus heureuse  - rêves étaient plus à l’abri – Maupassant détruit illusions – négatif
  • « Eclos » métaphore
  • « tout de suite » normalement passé simple là à l’imparfait => éteint spectaculairement action
  • « l’homme espérait … »accumulation – asyndète – très rapide – manque identité homme => périphrase Jeanne peu importe homme heureuse
  • Temps « quelques semaines »
  • « Sans laisser réfléchir » privatif – réfléchit pas dernier mot « rien » « mais » « porte » maison Peuples alors qu’au couvent se sentait plus libre alors « murs »
  • Opposition douce réalité => imagination début - #quotidien - « ferme porte espoirs »
  • « Charmantes inquiétudes » oxymore – charmant – Jeanne agitation «  pensait, rêvait » style indirect libre
  • « Alors plus rien à faire » alors plus rien jamais – négations encore plus brutales – pas verbe conjugués – plus d’action – plus de temps – espace vide – très négative

  • « Elle sentait » perception - « vaguement » réfléchit pas – une certaine désillusion – résonance illusion
  • Affaissement – faire pesanteur tombée – chuté du coup « se leva » => passé simple
  • « Hélas elle vain » front vitre => annule action – agît pour être encore plus passive – froid triste
  • « puis » temps rivalité mots logiques – laisse aller
  • « Mais » annule espoir actions -
  • « après avoir... » incise => phrase après avoir fini rêvé – étire temps – traîne – prend décision simple
  • « Elle se décida » pénible pour Jeanne – lente décision

Grandes idées :

Importance du temps : présence du passé – du  présent – du futur

Point de vue interne donc impur le narrateur juge les faits et gestes de Jeanne – c’est le narrateur qui formule les pensées de Jeanne donc il ajoute son avis personnel – souffre éducation

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