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Textes de Cartier et de Lahontan : Plan comparatif du développement

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Par   •  4 Juillet 2022  •  Dissertation  •  1 177 Mots (5 Pages)  •  324 Vues

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Devoir 1C – Plan et rédaction        

Étape 1 : Plan comparatif du développement

Point de vue : Dans les textes de Cartier et de Lahontan, les Français ne sont pas présentés de la même façon.

Argument principal 1

Dans les deux extraits, les Français semblent confrontés à une sitation similaire et font face à une rencontre avec un nouveau peuple qui est présenté de manières différentes par les deux écrivains

Sous-argument 1.1

Sous-argument 1.2

D’abord, dans «Voyages a Nouvelle-France» de Jacques Cartier, l’extrait témoigne la rencontre avec le chef Amérindien à Gaspé, lors d’un débarcadère sur la nouvelle terre. Cartier décrit les Amérindiens comme des peuples moins civiliés lors de l’échange avec le chef.

Dans «les Dialogues avec un Sauvage», le Baron de Lahontan témoigne de manière plus vulgarisé et discursif avec le chef Amérinden Adario. Le Baron exemplifie le caractère des Amérindiens comme étant un peuple civilisé qui ont de l’aise à communiquer oralement avec les Français

Illustration 1.1

Illustration 1.2

«Comment les nôtres plantèrent une grande croix sur la pointe de l’entrée dudit havre, et comment est venu le capitaine de ces sauvages et comment après une grande harangue, il fut apaisé par notre capitaine, et resta content que deux de ses fils allassent avec lui.» (L. 1-3)

«Tout beau, n’allons pas si vite, le jour est long, nous pouvons parler à loisir, l’un après l’autre.
Tu trouves, à ce que je vois, toutes ces choses bien dures.» (L.5-6)

Explication 1.1

Explication 1.2

Dans cet extrait, le locuteur décrit le contexte par une introduction informative par rapport au contentu du témoignage qui vas suivre. Ainsi, dans l’extrait, Cartier poursuit un échange avec le chef Amérindien de la Gaspé lors du premier contact avec ce nouveau peuple. Cartier décrit l’échange avec le peuple difficile, en raison de la barrière de la langue.

Dans l’extrait de Lahontan, Adario, le chef de Hurons, résume le premier contact entre deux hommes de cultures et civilisations différentes. L’échange qui suit entre le Français et l’Amérindien est présenté par le locuteur sous forme de dialogue civilisé, qui présente un style littéraire assez nouveau pour l’époque de l’auteur pour décrire l’événement qui se déroule.

Argument principal 2

Dans les deux textes, les Français semblent être présentés comme étant supérieurs aux Amérindiens. Les Français apparaîssent comme des êtres civilisé, tandis que les Amérindiens sont personifiés comme étant des êtres plus animal.[a]

Sous-argument 2.1

Sous-argument 2.2

D’abord, dans l’extrait de «Voyages en Nouvelle-France» de Jacques Cartier, les Amérindiens sont représentés comme des êtres sauvages.

Dans l’extrait de Monsieur le baron de Lahontan, les sauvages sont décrits comme des animaux et qu’ils ne se sont pas civilsés comme le Français.

llustration 2.1

Illustration 2.2

« [...] il nous fit une grande harangue, nous montrant ladite croix, et faisant le signe de la croix avec deux doigts ; et puis il nous montrait la terre, tout à l’entour de nous, comme s’il eût voulu dire, que toute la terre était à lui, que nous ne devions pas planter ladite croix sans sa permission. » (L. 12-15)

« d’être obligé de gîter sous une misérable cabane d’écorce, de dormir sur quatre mauvaises couvertures de castor, de ne manger que du rôti et du bouilli, d’être vêtu de peaux, d’aller à la chasse des castors, dans la plus rude saison de l’année ; de faire trois cents lieues à pied dans les bois épais, abattus et inaccessibles » (L. 1-4) HYPERBOLE

Explication 2.1

Explication 2.2

En employant le mot «harangue», le loctueur veut montrer que les Amérindiens s’adressent aux Français de manière respectusese, comme ils le feraient à une personne de haute importance. Ainsi, Cartier indique que les sauvages tiennent les Français en haut estime, qui installe un climat de dominé et dominant lors de cette rencontre. Le loctueur montre aussi les actions respectueuse des explorateurs envers les sauvages pour pouvoir établir un lien de confiance, qui fait preuve du caractère civilisé des Français.

Dans cet extrait, le locuteur emploi une hyperbole de pour décrire le mode de vie et la culture des Amérindiens. Cela accentue le côté sauvage des Amérindiens pour les faire apparaître comme peuple inférieur aux Français, qui vivent dans le luxe. La description des «cabanes en écorce» et des «mauvaise couvertures de castor» donnent l’impression que les Amérindiens vivent comme des animaux, ainsi supporant l’images des Français comme tant un peuple supérieur et civilisé.

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