Tartuffe, scène 3, acte 3, Molière

Tartuffe, scène 3 acte 3

Tartuffe est une pièce de théâtre qui a été écrite par Molière. Molière est né à Paris le 15 janvier 1662 est décédé le 17 janvier 1673. c'est un auteur dramatique, auteur de comédie mais aussi un comédien et chef de troupe de théâtre français au début du règne Louis XIV.

Tartuffe est une comédie qui comporte cinq actes et écrite en alexandrins. Elle a été représentée pour la première fois le 12 mai 1664 au château de Versailles. Tartuffe est une pièce très apprécié du roi Louis XIV. La représentation de cette comédie sera autorisée après avoir été censurée trois fois. On pensait que Molière, auteur reconnu et apprécié critique la religion. Alors qu’enfaîte il critique les faux dévots.

L'acte 3 scène 3 de Tartuffe se joue entre Tartuffe et Elmire. Au fil de la conversation, Tartuffe va déclaré sa flamme à Elmire. Quant à Elle, elle n'est pas du même avis. Elle va le repoussé sans aucune violence. Elmire passe cet acte sous silence à une seule condition que Tartuffe refuse le mariage avec Mariane sinon tout est démasqué !

Comment Tartuffe va réagir envers les paroles d'Elmire … ?

Dans cette lecture analytique je vais développer 3 axes. Premièrement : la progression de la stratégie de Tartuffe, deuxièmement : le langage amoureux et religieux et pour finir la réaction d'Elmire.

Tout d'abord, dans l'acte 3 scène 3 la stratégie de Tartuffe progresse petit à petit.

Il passe du discours de la dévotion au discours de la séduction. Au début Tartuffe parle des femmes en général puis au fil du dialogue il s'intéresse à Elmire plus particulièrement. Il passe du cas général au cas particulier. <<Il a sur votre face épanché des beautés>>. Tartuffe apparaît comme un séducteur et un hypocrite. Il est démasqué par son argumentation avec Elmire. Son langage créé un rapprochement entre le champs lexical du corps et celui de la religion avec les mots de la dévotion. <<Vos célestes appâts>> montre le charme du corps féminin. Les deux phrases qui apparaissent dans les répliques <<Attraits>> et <<Splendeur plus qu'humaine>> montre une image rayonnante. Au début du dialogue Tartuffe fait croire à Elmire que son meilleur état de santé c'est grâce à lui, ces prières... Alors qu'en réalité c'est un faux dévot. Il se moque de la religion. <<Mes prières n'ont pas le mérite qu'il faut pour avoir attiré cette grâce d'en haut, mais je n'ai fait au ciel nulle dévote instance qui n'ait eu pour objet votre convalescence>>. Ce faux dévot avec son semblant de gentillesse progresse dans ces paroles et essaie d'embobiner Elmire qu'il peut lui donné sa santé... Il commence à faire ces avances progressivement : <<On ne peut chérir votre chère santé, et pour la rétablir j'aurais donné la mienne>>. Tartuffe parle avec gentillesse et amabilité à Elmire pour donné bonne impression. Il joue un rôle devant le public pour donné bonne apparence et se faire aimé d'Elmire. Mais on connaît tous le personnage !

Au fur et à mesure de la progression de sa stratégie il s'approche physiquement d'Elmire. Ces gestes restent douteux... <<Il lui met la main sur le genou>>, <<Elle recule sa chaise, et Tartuffe rapproche la sienne>>. il déclare que tout dépend d’elle à présent, «Et je vais être enfin, par votre seul arrêt, /Heureux, si vous voulez, malheureux, s’il vous plaît ». La preuve en est qu'Elmire repousse sans aucune violence Tartuffe. Plus on arrive à la fin de la scène plus ces tirades sont longues. Ceci à une influence sur la progression de la stratégie de Tartuffe. Je peux donc conclure que ce phénomène prouve son attirance envers

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