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Tartuffe, Jean-Baptiste Poquelin

Commentaire d'oeuvre : Tartuffe, Jean-Baptiste Poquelin. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  18 Mai 2013  •  Commentaire d'oeuvre  •  571 Mots (3 Pages)  •  748 Vues

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'auteur, Jean-Baptiste Poquelin est un auteur du XVIIème siècle (1622-1673) réputé aujourd'hui pour ses pièces de théâtre, et plus particulièrement pour ces comédies. Après avoir fait des études de droit, il fonde la compagnie l'Illustre-Théâtre et prend le nom de Molière. C'est avec cette troupe qu'il fit ses débuts dans le théâtre en tant qu'écrivain metteur en scène, et acteur. Il entreprend une tournée de plusieurs années en province, notamment dans le sud de la France. C'est aussi à cette période que Molière rencontre des personnages avec qui il entretiendra des relations notamment frère du roi ; cela lui permet alors de jouer à Paris en 1658 devant le souverain.

"Le bourgeois gentilhomme"(1670), "Le Misanthrope", "l'Avare", "Le Tartuffe ou l'Imposteur" et "Dom Juan" sont quelques unes de ces pièces les plus connues.

II. « Le Tartuffe ou l'Imposteur », 1969

L'extrait proposé est un véritable coup de théâtre. 

Axe 1 : Le coup de théâtre

On assiste en premier lieu à la perte de pouvoir du faux dévot au cours de la scène.

En effet, Tartuffe à son arrivée sur scène est confiant, plein d'assurance ; il domine les autres personnages. Il demande à ce que l'on arrête Orgon pour traîtrise (emploi de verbe à l'impératif). La situation semble alors désespérée. Et pourtant grâce à l'exempt, que l'on ne considérait alors que comme un personnage secondaire, fait basculer la situation. Au cours de son récit, il maintient une certaine ambigüité (il ne prononce pas le nom de Tartuffe. On ne comprend de qui il traite que jusqu'à la didascalie) et rétorque enfin que c'est lui, Tartuffe, que l'on va arrêter sur ordre du roi. On assiste alors à la victoire inespérée et inattendue d'Orgon l'homme de bien sur le personnage hypocrite de Tartuffe, comme Molière l'annonçait dès sa préface. Et selon le modèle traditionnel de la comédie, « Le Tartuffe ou l'Imposteur » s'achève sur une fin heureuse notamment le mariage entre Valère et Marianne.

Axe 2 : L'éloge au roi

Par ailleurs, cette ultime scène est un véritable hommage au roi Louis XVI, le roi Soleil. Celui-ci est déjà largement invoqué, indirectement grâce à l'emploi de termes tels que "aveuglement" v. 1914, "briller" v. 1914, et "vive clarté" v. 1919 qui font allusion au soleil et donc à Louis XIV : le Roi soleil.

Cette ultime scène présente donc de nombreuses métaphores de la lumière qui met en valeur le rayonnement du Roi qui incarne la vérité, l'ordre et la justice. Cette justice viens mettre fin aux agissements des imposteurs tels que Tartuffe.

Puis Molière, organise un véritable hommage, un éloge au roi. La perfection du roi est valorisé par la mise en relief de la noirceur du roi. Il lui attribue plusieurs qualités distinctes : 

- c'est un homme qui n'est pas dupe (« un prince dont les yeux se font jour dans les cœurs », « et que ne peut tromper tout l'art des imposteurs »)

- Il est intelligent («

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