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Sujet D'invention à Partir D'un Texte De Erasme

Mémoire : Sujet D'invention à Partir D'un Texte De Erasme. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  4 Janvier 2013  •  826 Mots (4 Pages)  •  1 162 Vues

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Sur le modèle du texte d’Erasme, répondez à un adulte qui vous demande ce qu’il faut, inculper en priorité à des lycéens

Vous présenterez au moins deux disciplines dans une argumentation rigoureuse et illustrée.

Vous insisterez sur les procédés rhétoriques employés par Erasme.

(Vous pouvez commencer par : « Vous me demanderez ce qu’il … »

Mon sujet d’invention

Vous demandez ce qu’il faut inculquer en priorité à des lycéens. En premier lieu, je penserais à la littérature française. Un lycéen peut-être poussé par le plaisir de lire les célèbres auteurs tels que Molière ou la Fontaine et pleins d’autres qui constituent notre culture française Cette culture peut-elle avoir une utilité ? Celle-ci peut être utile car chaque texte que le lecteur peut apprendre quelque chose notamment des valeurs morales dans les fables où celle-ci inculquent, aux jeunes, la distinction entre ce qu’il se fait ou pas dans la vie en communauté, et donc dans les rapports sociaux .Les fables de la Fontaine sont réputées pour les jeunes car ce sont des contes, mais avec une morale, qui peut être applicable pour tous. Celle-ci est plus facilement retenue par les jeunes car elle est amusante, elle les fait rêver avec l’humour des animaux, où contrairement aux adultes, qui ne sont intéressées que par le plus grand profit c’est-à-dire la langue. Les jeunes sont attirés par les fables de La Fontaine non pas par la morale mais par la façon dont celle-ci est écrite. Quoi de plus charmant que d’écouter les fables la Fontaine, où par le rire et l’originalité transmette une morale. Dans le lièvre et la tortue, la morale dit : « rien ne sert de courir, il faut partir à point » la fable amuse les jeunes mais en même temps ils ont retenu le message que le plus rapide n’est pas toujours le premier. C’est de même pour la cigale et la fourmi, il ne suffit pas de dépenser tout ce que l’on a, il faut en mettre de côté pour les temps durs. Grâce aux fables de la Fontaine, les jeunes peuvent comprendre la vérité importante tout en s’amusant.

Jean-Pierre van Elslande disait «En lisant une œuvre, le lecteur découvre d’autres modes d’existence qui, même s’il ne les met pas en pratique, lui appartiennent tout autant qu’aux personnages fictifs». Jean-Pierre van Elslande rejoint sur ce point Montaigne, «pour qui chaque être contient à l’état virtuel la condition humaine tout entière». Du coup, lire c’est aussi mieux comprendre les autres et, plus largement, le monde dans sa diversité. «Nos conceptions les plus courantes doivent beaucoup à la littérature, car c’est elle qui les modèle en grande partie.» Que serait notre vision de la nature sans les écrits de Rousseau et de ses pairs du XVIIIe siècle? Et l’idée de peuple ou de condition sociale sans Zola et toute la littérature du XIXe? A quoi se réduirait le monde s’il n’y avait pas la poésie pour stimuler nos émotions en faisant ressortir toute la dimension charnelle de la langue? Lire, c’est donc «s’efforcer de mieux comprendre la diversité du monde dont chaque lecteur et lectrice détient une parcelle, parfois sans même sans s’en rendre compte. Et non pas contempler son propre vécu,

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