Sous-partie de commentaire composé, Le petit bleu de la côte ouest, incipit

       De plus, malgré que le texte soit en majorité objectif, nous pouvons remarquer que le narrateur intervient à plusieurs reprises en donnant son avis. C’est le cas à la ligne 18-19 “ une représentation merdeuse de saint Christophe”, on remarque que le langage utilisé ici est vulgaire avec l’utilisation de l’adjectif “merdeuse”. Le narrateur intervient aussi à la ligne 16 en qualifiant l’intérieur de Georges Gerfaut de “sombre et confus”. Cela crée une variation entre l’objectivité du texte et l’avis du narrateur qui rend perplexe le lecteur. En plus de cette variation, l’ironie et le cynisme sont une partie intégrante de ce texte. En effet il décrit les pensées du personnage au milieu de la description de sa voiture et l’utilisation du mot “intérieur” pour les décrire est très perturbante pour le lecteur puisqu’en faisant cela il compare Georges à un objet, une chose. En outre le cynisme est présent à la fin du texte, ligne 26-27 “ Le fait que Georges a tué deux hommes au cours de l’année n’entre pas en ligne de compte”. Ici, le narrateur explique que le protagoniste a tué deux hommes comme si cela était normal, sans réelle importance ce qui, en plus de créer un effet de chute et de surprise, déboussole le lecteur.        

De plus, malgré que le texte soit en majorité objectif, nous pouvons remarquer que le narrateur intervient à plusieurs reprises en donnant son avis. C’est le cas à la ligne 18-19 “ une représentation merdeuse de saint Christophe”, on remarque que le langage utilisé ici est vulgaire avec l’utilisation de l’adjectif “merdeuse”. Le narrateur intervient aussi à la ligne 16 en qualifiant l’intérieur de Georges Gerfaut de “sombre et confus”. Cela crée une variation entre l’objectivité du texte et l’avis du narrateur qui rend perplexe le lecteur. En plus de cette variation, l’ironie et le cynisme sont une partie intégrante de ce texte. En effet il décrit les pensées du personnage au milieu de la description de sa voiture et l’utilisation du mot “intérieur” pour les décrire est très perturbante pour le lecteur puisqu’en faisant cela il compare Georges à un objet, une chose. En outre le cynisme est présent à la fin du texte, ligne 26-27 “ Le fait que Georges a tué deux hommes au cours de l’année n’entre pas en ligne de compte”. Ici, le narrateur explique que le protagoniste a tué deux hommes comme si cela était normal, sans réelle importance ce qui, en plus de créer un effet de chute et de surprise, déboussole le lecteur.        

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