Selon vous l’individu a-t-il besoin d’être confronté à plusieurs cultures pour se construire ?

La diversité

Problématique : Selon vous l’individu a-t-il besoin d’être confronté à plusieurs cultures pour se construire ?

Synthèse :

Chaque culture doit être mise sur un pied d’égalité pour permettre à l’individu de se construire sereinement.

1er Argument : L’importance du respect entre les cultures pour la construction de l’individu

1. Il ne faut pas s’opposer à une culture car les principes sont contraires aux notre (tolérance, ouverture d’esprit)
2. Accepter les cultures permet à un individu de se construire

2e Argument : Connaitre une culture permet de mieux l’accepter

1. Egalité de la connaissance des cultures
2. L’apprentissage des cultures

Pour que chaque culture soit mise sur un pied d’égalité les principes de tolérance et d’ouverture d’esprit sont clé. Pour qu’un individu puisse se construire sereinement il doit faire preuve de compréhension envers d’autres individus de culture différente. La différence entre les cultures est expliquée car chacun dispose de son histoire, c’est comme ça qu’est née la diversité dans la culture, chaque peuple de chaque pays a un vécu différent et donc des principes fondamentaux divergent. Pour le bon développement d’un individu ces différence d’opinion ne doivent pas être source de conflit ou même d’opposition. Dans le film documentaire « Le Vénérable W » de Barbet Schoerder, ou l’on peut suivre Ashin Wirathu qui est un moine Birman mais aussi le chef d’un mouvement antimusulman au Myanmar. On constate que même dans un pays ou la population est en majorité bouddhiste une population basé sur le pacifisme et la tolérance, l’opposition à une autre culture est bien présente. Dans ce film on peut voir les habitants de Birmanie de confession musulman appelé les Rohingyas devoirs fuir leur propre pays par peur de se faire tuer par les autres habitants qui eux sont de confession bouddhiste. On constate donc que les cultures ne sont pas mises à égale et donc que l’individu ne peut pas se construire sereinement. C’est pour cela que l’acceptation des différences est très importante pour vivre en communauté. Le développement d’un individu se fait grâce à la tolérance de la diversité, plus une civilisation est développée plus elle est capable de comprendre et d’accepter l’autre. Comme on peut le voir à Singapour qui est un pays où de très nombreuses cultures sont représentés, la totalité des religions y sont représentés et peuvent être pratiqué sans aucune opposition. Pourtant Singapour est considéré comme le meilleur pays pour faire des affaires et dispose d’une croissance démographique hors pair.

Grâce à ces deux exemples nous pouvons nous rendre compte que pour accepter une culture la connaissance joue un rôle majeur. Plus un pays sera développé plus la connaissance sera facile d’accès. Une personne informait sur les différentes cultures aura plus de facilité à comprendre et à accepter une autre culture qu’un individu qui ne comprend pas et ne connais pas l’histoire des autres. On le voit très bien en Birmanie, c’est un pays pauvre ou l’accès a la culture est difficile contrairement à Singapour qui est un pays très développé ou les habitants sont informés et plus civilisé. Il est donc très important que l’apprentissage des cultures soit mis en avant dans notre société actuelle. Quand une personne fait parti d’un groupe social ou tout le monde a les mêmes centres d’intérêt ou les mêmes caractéristiques physique et qu’il se démarque des autres, il est souvent mis à l’écart et cela dès le plus jeune âge. L’apprentissage est un bon moyen pour lutter contre cette discrimination car en ayant connaissance qu’un individu peut avoir un passé difficile, le groupe de personne sera plus indulgent et à l’écoute. Dans le livre Le chercheur d’Afriques de         Henri Lopes, le narrateur, André Leclerc, alias Okana est déchiré entre deux cultures. Né d’une mère congolaise et d’un père français médecin militaire en poste au Congo. Peu de temps après sa naissance, le père du narrateur est rentré en France, abandonnant sa femme et son fils. Il a donc grandi au Congo, mais avec connaissance qu’il était différent des autres, avec des yeux bleu et pas tout à fait noir. Les habitants le prenaient souvent pour un Antillais ou un Arabe. On constate donc que à cause de ses différences physique le narrateur a grandi avec ce sentiment d’être différent des autres.

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