Rédaction de la première partie du commentaire de la scène 8 de l'acte III

Rédaction de la première partie du commentaire de la scène 8 de l'acte III :

   Sous le règne de Louis XIV, Roi Soleil et roi des arts, le théâtre français est à son apogée. Il est représenté par deux grand genre dominants : la comédie et la tragédie. Considérée comme le genre noble, la tragédie est une pièce versifiée mettant en scène des personnages de haut rang issus de la mythologie ou de la religion, en proie à la fatalité et à un destin funeste. Représentée en 1967, Andromaque est la tragédie qui assura le succès de Racine. La scène 8 de l'acte III met en scène un moment de confidence entre Andromaque et sa confidente, Céphise.

Suite à sa première prise de décision, Andormaque est confrontée à une confident qui essaie de lui faire changer d'avis.

Nous nous demanderons alors : En quoi cette scène de confidence présente le dilemme tragique auquel est soumis Andromaque dans une visée catharciste.

Dans un premier temps, nous analyserons cet entretien privée entre les deux individus propice au confidence. Dans un second temps, nous étudierons la mise en scène du dilemme tragique auquel est confronté Andormaque, et enfin nous analyserons la visée catharsiste que tant à produire l'extrait par la pitié et l'horreur.

I. Une scène pleine de changement de décision :

     1- Scène de confidence.

     a) Un entretien privée.

Le statue de confidente auprès d'Andromaque de Céphise, peut nous indiquer qu'il va y avoir confidence car c'est un climat intime pendant lequelle il peut y avoir des révélations.En effet, Andormaque va directement paler à Céphise du dilemme que lui impose Pyrrhus : « Je lui donnerais Pyrrhus pour successeur » (vers. 984).

     b) Céphise permet l'expression d'Andormaque.

Dans ce passage, Céphise permet à Andormaque de s'exprimer. Céphise invite Andromaque à parler comme le montre la phrase interrogative : « Ainsi le veut son fils...Qui dément ses exploits et les rend superflus ? » (vers. 985 à 991), qui la conduit à répondre avec de longue tirade (Vers. 992 à 1011).

Elle facilite également les confidences d'Andromaque en parlant peut par rapport à celle si, ce qui laisse à Andromaque le temps de s'exprimer, mais ce qui rend Céphise presque absente.

     c) Confidence d'Andromaque à Andromaque.

Andromaque semble remettre en question ses choix en choisissant de poser des questions rhétoriques, donc auxquelles elle semble pouvoir répondre mais qu'elle veut extérioriser. Par exemple « Dois-je oublier son père à mes pieds renversé, Ensanglantant l'autel qu'il tenait embrassé ? ».

Aussi, on remarque la présence de question fermé, qui rappelle le dilemme auquel Andromaque doit répondre (vers. 985) ce qui ne lui laisse pas le chois de répondre et qui lui demande de réfléchir.

     II. Qui met en scène un dilemme tragique :

     a) Choix difficile à faire.

     b) Place iportante du pouvoir.

     c) Et de la fatalité.

...