Quelle condition, et dans quelle limite, la littérature peut-elle, selon vous, présenter aux hommes le miroir de leur cruauté et de leur monstruosité ?

A quelle condition, et dans quelle limite, la littérature peut elle, selon-vous, présenter aux hommes le miroir de leur cruauté et de leur monstruosité ?

Introduction

La littérature existe sous différente forme. Ici nous allons voir a travers différents exemples, a quelle conditions, et dans quelle limite, la littérature peut elle présenté au hommes le miroir de leur cruauté et de le monstruosité.

I

On remarque, depuis longtemps, que l'homme est cruel et monstrueux. En effet, il tue, pas seulement pour se nourrir, mais aussi pour le plaisir. Selon '' Michel de Montaigne '' dans son essais '' De la cruauté '', ''nul ne prend son amusement a voir des bêtes jouer entre elle et se caresser et nul ne manque de le prendre à les voir se déchirer mutuellement et se démembrer '' . L'inhumanité de l'homme se traduit par son regard porté sur autrui. Dans l'antiquité, à Rome, les gladiateur, esclave ou prisonnier de guerre, se battaient en l'honneur de l'empereur mais aussi pour le spectacle. Le peuple venait pour se divertir et prenait beaucoup de plaisir a regarder ses scène atroces et sanguinaire.

II

D'autre part, on observe que la justice qui a pour but de faire respecter les droits, peut faire de grosse erreur car elle est avant tout constituer d'homme. Meursault; dans '' L'étranger '', de Camus se fait condamné à mort pour avoir tuer un homme. Selon les avocats, il avait beaucoup de chance de pouvoir échapper à cette terrible peine, mais le simple fait qu'il n'est pas pleurer lors de l'enterrement de sa mère à convaincu les juges que cette homme avait aucune conscience. Hors cet argument est totalement absurde et ne prouve absolument rien du tout. Malgrès celà, Meursault sera condamnée a mort. On peut donc affirmer que l'homme peut être cruel par son pouvoir de décision qui est parfois discutable. Ici, l'erreur d'appréciation de ce jugement coûtera la vie d'un homme.

...