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Le Rapport de Brodeck, CLAUDEL FICHE BAC

TEXTE 3 : Le portrait de l’Anderer (p.61-63) « ça avançait à peine » → « Les poutres des cuisines »

INTRODUCTION

- Présentation générale

- Extrait roman Claudel, XXIe s, se situe au chapitre 7, portrait fait par Gunter Benckenfür (berger) → portrait subjectif : son impression sur l’arrivée du perso après la guerre. Portrait qui semble celui d’un perso iréel, fantastique → perso allégorique/symbolique de tt ce qui s’est passé ds le village et de la guerre.

PB : Comment l’auteur s’y prend pour rendre son perso fantastique ?

En quoi l’Anderer représente l’horreur ? De quoi est-il symbolique ?

PLAN :

I- Les caractéristiques du portrait

portrait subjectif

perso fantastique

perso mystérieux

II- La symbolique du personnage

la route

jugement sur l’humanité

Humanité ? / Culpabilité ?

* * * * * *

Portrait

portrait subjectif

narrateur interne, 1ere pers → Beckenfür « c’est lui qui me parle » ; « je puisse »

expression des sentiments « intrigué » ; « j’ai frissonné »→ peur + réflexion : « j’ai pensé » + verbes de vue « scruter » ; « voir » + « les yeux » → hésitation, fixité et attention portée à l’Anderer

paroles familières, registre familier l.12, vulgaire → insultes hyperboliques + expressions familières « ce bonhomme » ; « cette affaire là » ; « ça »

perso fantastique

caractérisation vague, indéterminée « qqch » ; « quoi ? » → pronoms indéfinis

présenté comme une « apparition » grâce à comparaison + « d’une autre époque » ?

→ le perso est représenté comme un revenant/fantôme? + sentiment d’hésitation → du

« voir si je ne rêvais pas ».

perso mystérieux

-présenté péj → « ça » pronom indéterminé, « un peu humain » → réification du perso

- présenté comme un acteur, un vagabond, un commerçant (l.19-20)

- animaux personnifiés (l.33-34) qui lui sont complémentaires

- ils semblent eux aussi être des fantômes

- vision en mouvement « ne sais pas quoi » → « un homme » → « apparition » → perso caractérisé par une indétermination.

Portrait symbolique

La route

insistance sur la dénomination de la route « la route de la guerre » ; « putain de chiure de merde de route » ; « la route » ; « du malheur et des misères »

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