Plan: , le Survenant montre la vie sédentaire de façon idéalisée.

Étape 1 : Plan du développement

Thèse défendue : Oui, le Survenant montre la vie sédentaire de façon idéalisée.

Argument principal 1 : Le Survenant quitte son mode de vie nomade pour suivre celui de la famille Beauchemins, soit un mode de vie sédentaire.

 Sous-argument 1.1 : Le Survenant se met à travailler d’arrache pieds et à tous les jours pour avoir un toit où dormir.

 Sous-argument 1.2 : Le Survenant fini toujours par revenir chez la famille Beauchemins.

 Sous-argument 1.3 : Le Survenant s’est attaché au paysage du Chenal.

Argument principal 2 : Pour les habitants du Chenal, la vie sédentaire leur procure un mode de vie sécurisant.

 Sous-argument 2.1 : Les Beauchemins ont un toit et des biens qui leur permettent de vivre.

 Sous-argument 2.2 : Les habitants du Chenal ont une vie sociale envers leur voisin.

 Sous-argument 2.3 : Les habitants du Chenal ont amplement de nourriture pour subvenir à leurs besoins.

Étape 2 : Rédaction

D’une autre part, pour les habitants du Chenal, la vie sédentaire est plus favorable, en raison qu’elle leur garantie un mode de vie sécurisant. D’abord, le fait d’être sédentaire permet aux habitants du Chenal d’avoir leur propre terre, un toit et des biens. Les Beauchemins ont à leur disposition du «bois», de «la fleur de sarrasin», de «patates» fleurissantes et du «beurre» (p.41). L’énumération de ces biens permet de voir la quantité des ressources qui sont disponibles auprès des habitants. Leur abri leur offre une nuit sécurisante et confortable en plus de leur terre qui leur permet d’obtenir des ressources de qualité qui est possible d’obtenir qu’à long terme soit. Il est plus évident pour les sédentaires d’acquérir tous ces biens en raison que la pousse de la fleur de sarrasin prend tout de même un certain moment à fleurir tout comme bien d’autres aliments. Puis, la vie de sédentaire permet de créer des liens avec les gens qui nous entourent. Les habitants fêtent les grandes occasions ensemble en se réunissant chez quelqu’un. De là, «des cris, ces rires, de grands hélas!» (p.95) permettent de voir l’harmonie qu’il y a entre chacun d’entre eux. D’ailleurs, il était important d’avoir de bons liens entre chacun des habitants puisque, dans ce temps, l’entraide était une valeur importante. Une belle relation avec ses voisins pouvaient les aider dans un moment plus difficile. Donc, leur mode de vie permet de s’amuser tout en passant du temps entre eux. Ensuite, les habitants du Chenal ont de la nourriture en abondance. Lors de la fête du jour de l’An, «la nourriture abondait comme à des noces» (p.99). Pour les nomades, leur nourriture est plus restreinte. Ils doivent user de ruse pour chasser et pêcher afin qu’ils puissent se nourrir le soir venu. Comparativement à eux, les sédentaires font de l’agriculture et de l’élevage, qui prend évidemment beaucoup de temps, dans le but de se faire des réserves à l’aide de converses pour l’hiver. Bref, il est

...