Peut-on Affirmer Que, Dans Le Survenant, La Vie sédentaire Est Idéalisée 

Étape 1 : Plan du développement

Argument principal 1

Le sentiment de sécurité que les habitants du Chenal du Moine ressentent à vivre de façon sédentaire.

1.1 La sécurité est apportée par l’honneur de ne pas être un Survenant

1.1.2 ‘’ Un survenant, si tu veux le savoir s’est quelqu’un qui s’arrête à une maison où il est pas invité… et qui se décide pas à en repartir. – Je ne vois pas de déshonneur là-dedans. Dans ce pays icitte, on est pas prêt à dire qu’il a de l’honneur à ça non plus. Pages 47

Tout le long de l’histoire, le survenant est mal vu de tous, sauf de la famille Beauchemin. Les habitants du Chenal voient le fait d’être des paysans comme une fierté absolue.

1.2 La sécurité est apporter par la ligner de la famille

1.2.1 ‘’ Quand il avait pris possession de la terre ancestrale, puis à la naissance de son fils, un sentiment de duré, de plénitude, l’avait pénétré jusque dans sa substance même : la force tranquille de l’arbre qui, à chaque jour, à chaque heure, à chaque instant, enfonce ses racines plus avant dans le sol. ‘’ pages 80

Cette métaphore est utilisée pour mettre en évidence la force de la longue lignée du clan Beauchemin. Cette famille pourrait être comparée aux racines qui s’enfoncent dans le sol à mesure que le temps passe.

1.3 La sécurité est apportée par le sentiment d’accomplissements que les habitants ont.

1.3.1 ‘’ On va laisser le grand monde se régaler. (…) Et je vous recommande le dessert : il y a des œufs à la neige, de la crème brûlée, de la tarte (…). ‘’ Pages 100

Ceci, est un exemple parmi tant d’autre, mais la nourriture est mise de l’avant dans presque tous les chapitres de cette histoire, car elle est associée à la plénitude. Elle est le fruit de l’énorme travail que les paysans ont accompli, ce que les nomades n’ont pas. Donc, la nourriture pour eux est un signe de fierté.

Argument principal 2

La vie sédentaire des paysans du livre Le survenant est idéalisée par la dévalorisation de la ville et du mode de vie urbain.

2.1 Les nomades n’ont aucune racine, il n’on ni d’origine, ni de nom.

2.1.1 ‘’ Comment c’st qu’il se nomme d’abord, Amable? On le sait pas plus que toi, C’est un survenant. Ah! Fit l’autre, désappointé, c’est rien qu’un grand dieu des routes. ‘’ Pages 60

Pour les sédentaires, ne pas avoir de racines n’est pas une marque de fierté. Les paysans, dans ce livre, idéalise la vie sédentaire, car leur ligné représente ce qu’il y a de plus important pour eux

2.2 La ville est un endroit où l’on incite à prendre de l’alcool, à dépensé et à s’endetter.

2.2.1 ‘’L’argent dépensé, le survenant dont la soif, loin de s’étancher, s’était avivée à la consommation de quelques coups, tira des plans pour boire davantage ‘’pages 178

Lorsque l’auteur décrit des évènements s’étant passés en ville ou vécu par le Survenant, la plupart sont dépréciatif. Ces évènements tournent autour de l’alcool, l’argent et le sexe, ce qui est banni par l’église

2.3 Les nomades on une mauvaise influence sur les sédentaires.

2.3.1 ‘’ C’était la première fois que le jeune Provençal buvait de l’alcool. Ses idées se brouillaient et il n’avait guère la tête à lui. Éparpillant les billets de banque, il

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