LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Peut On Encore Croire Les médias

Dissertations Gratuits : Peut On Encore Croire Les médias. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  29 Décembre 2014  •  724 Mots (3 Pages)  •  2 599 Vues

Page 1 sur 3

Peut –on encore croire les médias ?

1) Réalisé des recherches sur les conséquences du séisme de 2010 à Haïti puis commentez la photographie de Paul Hausen .Quels sentiments fait-elle naître chez le spectateur ?

Un séisme ou tremblement de terre est un ensemble de secousses brèves et localisées du sol. C’est ce que les habitants d’Haïti ont vécus en 2010.

3,5 millions de personnes vivaient dans les zones qui ont été touchées par de fortes secousses, a indiqué l'ONU qui précise que " 300 000 sont sans-abris après la destruction de 10% de la capitale ". Ce que confirme La Fédération internationale de la Croix-Rouge qui estime que jusqu'à 3 millions de personnes ont été directement affectées par le séisme.

Ce séisme dévastateur a fait entre 250 000 et 300 000 morts, plus de 300 000 blessés et plus de un million de sans-abri, déjà 70 000 cadavres ont été enterrés dans des fosses communes. Un an après cette catastrophe, le Premier ministre Jean-Max Bellerive a déclaré "Il y a eu plus de 316 000 tués". C'est plus que le tsunami de décembre 2004.

Plus de deux millions de personnes se sont retrouvées démunis, sans toit ni eau et nourriture , des personnes meurent de froid, de déshydratation ou de blessures qui auraient pu être facilement soignées, affirme l'ancien président américain Bill Clinton, envoyé spécial de l'ONU pour Haïti

Suite au séisme, la capitale n'était plus qu'un nuage de poussière : les deux délégués de la Croix-Rouge française basés à Port-au-Prince parlent d'un chaos total dans la capitale haïtienne : "Port-au-Prince n'est plus qu'un amas de décombres, surplombé par un énorme nuage de poussière qui rend la ville invisible du ciel".

De nombreux bâtiments publics de Port-au-Prince se sont effondrés : le Palais national, le ministère des Finances, le ministère des Travaux public, le ministère de la Communication et de la Culture, le Palais de justice, l'Ecole normale supérieure, le Parlement, la cathédrale de Port-au-Prince, l'école nationale d'administration, l'université de l'Agence universitaire de la Francophonie. Mais aussi des écoles, des hôtels, le siège de l’ONU.

Des pays viennent en aide comme les Etats Unis, la France, la Suisse pour aider a retrouvé des survivants dans les décombres, donner des médicaments, de la nourriture, des boissons.

La photographie de la jeune fille nommée Fabienne, fait naître en moi et chez le spectateur un sentiment d’injustice. Cette jeune fille venait de vivre une catastrophe naturelle horrible, à laquelle elle avait survécue, pour ensuite se faire tuer par des balles perdues provenant des policiers haïtiens qui visaient un groupe de pillards après la catastrophe. C'est par hasard qu'elle a été atteinte de trois balles à la tête. Cette photo illustre encore un crime à Haïti, une tragédie pour sa famille.

Sur la photographie on à l’impression que personne ne vient s’occuper d’elle, comme-ci il était devenu normal de voir des corps inanimés à Haïti. On peut voir deux hommes a sa droite portant des caisses, d’après l’image ces deux hommes ne se dirige pas vers elle, pour lui porter secours.

...

Télécharger au format  txt (4.5 Kb)   pdf (70.7 Kb)   docx (9.7 Kb)  
Voir 2 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com