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Pensez-vous que l'homme soit condamné devant les défaillances de son corps ?

Étude de cas : Pensez-vous que l'homme soit condamné devant les défaillances de son corps ?. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  14 Octobre 2018  •  Étude de cas  •  1 569 Mots (7 Pages)  •  1 125 Vues

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Pensez-vous que l'homme soit condamné devant les défaillances de son corps ?

Introduction :

Définition :

 Fait pour un mécanisme, un appareil, de cesser brusquement de fonctionner correctement : Défaillance d'un système de sécurité.

 Perte momentanée et brusque d'une faculté, du contrôle de soi, de l'usage d'une fonction : Une défaillance de mémoire.

 Perte brusque et momentanée des forces physiques : Avoir une défaillance.

Depuis une vingtaine d’années les travaux sur le corps ont connu un renouveau très important. Les analyses et les regards disciplinaires se sont multipliés. L’objet corps, pour être saisi dans son infini complexité, a besoin d’approches croisées. Le corps supplicié, le corps handicapé, le corps meurtri par les intempéries ou par les conflits armés, le corps brutalisé lors de rixes interpersonnelles ou dans le cadre de violences conjugales. Alors est-ce vraiment une condamnation qu’avoir un corps possédant des dysfonctionnements ?

Le corps défaillant est celui qui ne correspond pas ou plus aux attentes. Lentement, en fonction de l’âge ou bien d’une maladie évolutive ou encore d’un traumatisme, le corps semble se dérober. Brutalement, à la suite d’un accident, d’une agression ou d’une maladie soudaine, le corps ne répond plus aux demandes, ou du moins imparfaitement. Il s’agira donc de penser le corps comme “manquant ou insuffisant “ dans la perspective des normes individuelles ou culturelles, sociales ou groupales médicales ou psychologiques, philosophiques, juridiques.


Le corps « en panne »

Il s’agira plus particulièrement de s’attacher à l’altération de la puissance du corps, aussi bien dans le sport, le travail ou encore la dépression

Le sport

Dans le domaine sportif, un athlète cherche constamment à améliorer ses capacités physiques. Cependant un organisme n'est capable de supporter qu'un certain niveau de contraintes au-delà duquel il peut se détruire. Il possède des seuils physiologiques à l'image du moteur de la voiture avec une zone rouge dans laquelle il ne faut pas rester trop longtemps au risque de le « casser ». Les caractéristiques physiques de chaque sportif sont donc à prendre en compte pour éviter d'atteindre cette zone rouge.

« Motivation, mental, agressivité, concentration, confiance en soi, crispation, peur de gagner... » Toutes ces expressions sont utilisées pour exprimer l'état psychologique d'un sportif lors d'une confrontation ou compétition et sont toujours associées à la réalisation d'une performance ou au contraire d'un échec.

On peut cependant palier ces limites avec la mise en place d'une préparation psychologique du sportif. La préparation psychologique concerne l'analyse des facteurs, des personnes, des éléments, des situations interagissant sur le projet sportif de l'athlète. Mais aussi grâce à la mise en place d'une préparation mentale du sportif. La préparation mentale désigne le travail effectué sur le rapport de l'athlète à lui-même dans le cadre de sa préparation à la performance et de la gestion des résultats.

L'objectif du préparateur mental est de rendre le sportif autonome, de lui permettre de fonctionner seul et non de le mettre sous dépendance ou influence.

Le travail

AVC, infarctus, alcoolisme, burn-out C'est ce que montrent de nombreuses études médicales. D'après une étude, les semaines de travail de plus de 40 heures augmentent sérieusement le risque d'affection coronaire et d'accident cardiovasculaire (AVC). Telle est la conclusion de cette sans précédent basée sur l'observation des données médicales de plus de 600.000 patients hommes et femmes originaires d'Europe, des Etats-Unis et d'Australie durant 7 à 8 ans. Le travail prolongé et la réflexion peuvent entrainer de graves conséquences sur la santé physique et mentale de l’Homme et donc lui nuire. Cela provoque des défaillances du corps humain.

La dépression et les maladies mentales

Un trouble psychique, qui peut être également désigné sous les termes de trouble psychiatrique ou encore de trouble mental, désigne un ensemble d'affections et troubles d'origines très différentes entraînant des difficultés dans la vie d'un individu, des souffrances et des troubles du comportement. Les troubles psychiques touchent toutes les populations, sans distinction de sexe ou d'âge. Ces troubles peuvent être chroniques ou permanents. Les exemples les plus courants de troubles psychiques sont les troubles bipolaires, les troubles schizophréniques, les troubles de comportement alimentaires, les troubles de la dépression, les addictions liées à la consommation d'alcool, l'anxiété, les phobies, etc. Ces troubles peuvent entrainer une hospitalisation volontaire ou contrainte intégrant le cadre d’hôpitaux psychiatriques ou de cliniques spécialisées. Des discriminations et des stigmatisations sociales liées à certains troubles ont mené à la création de mouvements sociaux, d'associations de patients ou de campagnes de sensibilisation.


Le corps vieillissant, malade, usé

De manière prolongée ou définitive le corps ne correspond plus aux attentes, pour les autres et pour soi.

Vieillir

La silhouette se tasse et se voûte : Les articulations peuvent se déformer par usure des cartilages et remaniement des extrémités osseuses. Diminution du volume des muscles : La masse musculaire diminue pour être remplacée progressivement par de la graisse. Les muscles ronds sont les plus touchés : épaules, fesses… La peau se relâche, se tache et s’affine : Elle ne fabrique plus de fibres élastiques après 40 ans. Des dépôts de pigments apparaissent (taches brunes) et la peau se déshydrate. Les cheveux blanchissent et se raréfient : Ils deviennent plus secs, clairsemés et leur couleur vire au blanc car les cellules ne fonctionnent plus. Le visage : Les volumes du visage se modifient et sont attirés vers le bas. Les rides se creusent plus ou moins à différents endroits selon les mimiques du visage. Les lèvres s’affinent, le nez s’allonge et s’épaissit. : Les dents s’usent, le sourire est attiré vers le bas et montre plus les dents du bas que celles du haut.

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