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Molière, Le Misanthrope : Commentaire Acte IV, Scène 3, V. 1286 - 1314

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Par   •  12 Février 2013  •  508 Mots (3 Pages)  •  6 910 Vues

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Commentaire Acte IV, Scène 3, v. 1286 – 1314.

Intro :

Misanthrope est une pièce de Molière, jouée pour la première fois en 1666.

L'intrigue nous met en scène un misanthrope : Alceste. Ici, la scène 3 de l'acte IV correspond à une scène de querelles où Alceste accuse Célimène de tromperie, car il a sut qu'elle avait échanger une lettre avec le personnage d'Oronte.

Malgré sa misanthropie, le personnage d'Alceste est pris de passions pour Célimène, une jeune veuve que beaucoup d'hommes convoitent. Notre personnage lui avait précédement avoué ses sentiments qu'il éprouvait pour elle.

Cette scène ,du point de vue d'Alceste de tromperie va emporté le personnage dans une colère qu'il exprime dans une tirade.

Nos pistes de lecture est que nous avons dans cette tirade deux personnalités d'Alceste :

Alceste, le colérique, le misanthrope

Alceste, le passionné

Lecture :

Analyse :

« Ah ! » = interjection qui prépare le lecteur et le spectateur à une longue explication.

« Rougissez … de votre trahison » = Alceste attend une part de honte de Célimène, mais celle – ci ne répond pas, ni se défend.

On peut dire que la scène explique le deuxième titre de la pièce : Atrabilaire amoureux.

V. 1289 – 1294 : méfiance envers la Nature de l'H avait lieu d'être pour Alceste, mais on peut sentir une part de jalousie. En effet, on retrouve le même sentiment à la scène 4 de l'acte II, où Célimène ne chasse pas les autres hommes qui sont venus chez elle.

On observe aussi un champ lexical du doute (donner des exemples).

La phrase est composée de 6 vers ce qui donne de la longueur. On observe que les vers sont soit terminés par une virgule ou un point virgule. Cela donne un rythme aux vers = sentiment de colère d'Alceste.

v. 1297 à 1300 : changement de personnalité et de caractère de la part d'Alceste. On peut dire que de nouveau, il ouvre son cœur, mais pris par la fatalité.

v. 1297 : « Je sais que sur les vœux, on n'a point de puissance. » : Alceste le romantique en souffrance.

On a le champ lexical de l'amour et du cœur.

v. 1301 – 1304 : on peut imaginer un Alceste plus calme : explique qu'il aurait préférer une part de franchise plutôt qu'une souffrance.

Rythme plus lent.

v. 1305 – 1308 : on est fasse à une rupture : « Mais » = retour de la colère d'Alceste = rythme plus rapide : champ lexical de la trahison et de la vengeance.

« C'est » = démonstratif v. 1306 ajoute un effet de sentence.

v. 1309 – 1314 : retrouve une longue phrase comme au début : 6 vers et cette fois on a la présence plus importante

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