Molière, Ecole des femmes, acte IV, scène 4

Corrigé de l’introduction au commentaire

Molière,  Ecole des femmes, acte IV, scène 4

Voici deux meilleures copies :

                    Au cours de la seconde partie du XVII ème siècle, Jean-Baptiste Poquelin, plus communément nommé Molière (1622-1673), célèbre dramaturge, comédien, protégé du roi Louis XIV, produit pour la première fois sur scène, en 1662, L’école des femmes. Considérée comme sa première « grande » comédie, elle est constituée de cinq actes et est écrite en vers alexandrin. L’extrait étudié est tiré de l’acte IV, scène 4. Au cours de celui-ci, le dramaturge se fait moraliste et dénonce Arnolphe, un bourgeois qui tente de préserver l’innocence de la jeune fille qu’il souhaite épouser, face à un jeune homme prêt à tout pour la conquérir. Obligé de s’absenter, il fait répéter la scène à ses deux valets, Alain et Georgette. En quoi la mise en abyme est un révélateur des tensions sociales entre maitre et valets ? Dans un premier temps, nous analyserons les relations entre le maitre et ses valets, par la suite nous verrons la répétition générale qu’Arnolphe fait subir à ses domestiques et enfin nous démontrerons qu’il s’agit d’une scène comique.

                 Molière (1622-1673), de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin, est un très grand comédien, dramaturge et metteur en scène classique français du XVII siècle. Chef de la troupe de l’Illustre Théatre, il est le comédie et dramaturge préféré de Louis XIV. L’école des femmes (1662) est sa première « grande » comédie écrite en cinq actes et en vers alexandrin. Cette pièce met en scène un homme, Arnolphe, qui élève sa future femme de sorte à e qu’elle ne le trompe jamais, mais cette jeune femme rencontre un homme, dont elle tombe amoureuse. Dans cet extrait de la scène 4 de l’acte IV, Arnolphe explique à ses valets comment réagir si cet homme revenait, il les fait répéter la scène en endossant le rôle d’Horace. En quoi la mise en abyme est un révélateur des tensions sociales entre maitre et valets ? Dans un premier temps, nous étudierons les relations du maitre avec ses valets, ensuite, nous verrons la répétition générale et à la fin, nous nous pencherons sur la scène comique.

Voici le corrigé du devoir précédent :

                Molière (1622-1673), de son vrai nom Jean –Baptiste Poquelin, est un célèbre dramaturge classique français du XVII siècle. La comédie en trois actes et en prose Les Fourberies de Scapin fut créé au théâtre du Palais-Royal en 1671. Ici, Molière s’inspire de l’intrigue de nombreuses comédies antiques. Deux jeunes gens amoureux, Octave et Léandre, que leurs pères, Argante et Géronte, veulent marier contre leur gré, vont être aidés par le valet Scapin. Ce personnage emprunte beaucoup d’un personnage de valet de la commedia dell’arte qui veut régler ses comptes avec son maître. Nous sommes ici à la scène deuxième de l’acte III, autrement dit à la fin de la pièce. Scapin entend se venger de Géronte en lui faisant croire qu’on le cherche pour le tuer, et le persuade de se cacher dans un sac. En quoi cette scène est-elle comique ? Nous étudierons ,dans une première partie , le registre comique, et dans la seconde, nous montrerons que Scapin est un véritable comédien.

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