Litérature 18ème

18th century literature

➢ 1711: Pope’s Essay on Criticism

➢ 1719: Defoe’s Robinson Crusoe

➢ 1726: Swift’s Gulliver’s Travels

➢ 1728: John Gay’s The Beggar’s Opera

➢ 1749: Henry Fielding’s Tom Jones

➢ 1756: Edmund Burke’s A Philosophical Inquiry into the Origins of our Ideas of the Sublime and the beautiful.

Siècle important pour l’émergence du roman, c’est là qu’il naît.

Richardson’s Pamela LETTER XXI.

Idée nouvelle de ce siècle: on peut s’élever par l’esprit.

Le 18ème c’est aussi une période qui se caractérise par une fascination pour l’étranger. Intérêt pédagogique du voyage. Cela donne donc naissance à une littérature de voyage avec des récits de véritables explorateurs même des siècles antérieurs, mais aussi des récits de faux explorateurs (ex : George Psalmanazar, en 1704 il écrit un livre sur Taïwan complètement fantaisiste). Frontières très poreuses entre les vrais récits d’explorateurs qui en rajoutaient sur n’importe quoi dans le but de vendre leurs livres et les récits de faux explorateurs. Mais aussi des récits de voyage, mais aussi les parodies de littérature de voyage (ex : « les Voyages de Gulliver »).

Fin du 18ème Début du 19ème : début du romantisme.

Définition du romantisme : prise de conscience de l’individualité, on parle des sentiments. Cœur de la révolution industrielle, les anglais se tournent vers l’urbain. On retourne à la nature, place de l’homme n’est pas dans la ville mais plutôt dans la nature. Rejet du fait que Londres est un équivalent de Rome.

Les 2 plus grands poètes romantiques à l’origine du mouvement et étant les seuls ayant collaboré entre eux sont Wordswoth et Coleridge (ex : « Lyrical Ballads »). Ils ont deux visions extrêmement contrastées du romantisme.

Wordsworth a décidé de rompre avec les formes très contraignantes de celle du 18ème siècle et il emploie un vocabulaire très simple et accessible à tous et il écrit en vers libre, parfois en vers blancs (non rimés), pour lui l’essentiel est de partager son émerveillement avec le lecteur.

Coleridge, le romantisme se rapproche du gothique, il fait appel au surnaturel pour créer une dimension à part.

On peut recréer l’image par la mémoire et l’écriture (« inwarde eye » « pleasure » Wordsworth)

Coleridge « Kubla Khan » 1797 : moins gai, plus sombre, noms qui évoquent l’exotisme mais qui ne se relient à rien de concret.

1756 : Edmund Burke’s A philosophical Inquiry into the Origins of our Ideas of the Sublime and the Beautiful, il nous explique que le beau et le sublime est une affaire de perception mais qu’ils sont quand même liés à des critères objectifs mais nous sommes en sécurité donc ce n’est pas dangereux. D’après lui, pour créer le sublime en littérature il faut des ingrédients (le rouge, l’incohérence, l’obscurité) et le fait que l’on soit incapable de se représenter la scène écrite dans son imaginaire.

Le romantisme c’est la recherche de l’impression du sublime selon une vision précise.

Littérature de la période Victorienne, 19ème.

Au 19ème, on en a marre des romans qui parlent de la mode, de l’aristocratie. Les lecteurs sont principalement dans les grandes villes industrielles, renouveau du lectorat et ces gens là ont envie de rêver, de lire des romans qui soient en rapport avec leur vie. On va avoir des romans réaliste (ex : Dickens) et d’autres qui vont prendre le contrepied et des auteurs vont jouer sur la nostalgie des lecteurs retour au rural idéalisé. Ces romans sont influencés par la peinture. Deux courants assez populaires en Angleterre au 19ème :

➢ la peinture flamande caractérisé par des scènes du quotidien

➢ la peinture de paysage généralement ce sont des paysages animés

Au 19ème le lectorat change, de plus en plus de gens peuvent acheter des livres, de nouvelles formes de publications apparaissent :

➢ bibliothèques ambulantes ou locales

➢ de romans publiés en plusieurs tomes (moins chers, possibilité de se les faire passer en famille)

➢ publication en série (ex : The Picknrick Papers de Dickens), chaque semaine une nouvelle page du roman.

Le Modernisme fin du 19ème.

On perd l’espoir du progrès et de nouvelles formes vont naître avec des auteurs comme James Joyve, Virginia Woolf.

Joyce, Evelyne, 1914, Narrateur à la 3ème personne qui nous donne accès à ce qu’il se passe dans la tête du personnage. Style indirect libre.

Le modernisme

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