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Les catastrophes naturelles n'existent pas

Étude de cas : Les catastrophes naturelles n'existent pas. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  9 Janvier 2018  •  Étude de cas  •  1 564 Mots (7 Pages)  •  955 Vues

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De nous jours, de nombreuses catastrophes naturelles se produisent par la nature indépendamment de toutes actions humaines.  Une catastrophe naturelle est qualifié d’ événement naturelle et brutal qui devient potentiellement dangereux lorsqu’il s’accompagne de dégâts multiples pouvant atteindre l’environnement et engendrer des couts . A ce titre , F.Bussy dans  une revu tiré de Le portique intitulé « Penser nos catastrophes »  illustre les catastrophes produites par les hommes , indépendamment de la nature et souligne l’ignorance des hommes. René-éric Dagorn quant à lui , dans son article «  Les catastrophes n’existent pas » tout en gardant les mêmes propos s’appuie d’avantage sur la prévoyance des hommes pour essayer de limiter au mieux les catastrophes. Dans un tout autre registre , Voltaire  raconte le sort qu’on connu les victimes du tremblement de terre et s’appuie essentiellement sur l’homme qui se croie au centre de la nature. Enfin , une photographie vient illustrer cette dimension chaotique en soulignant les dégâts causés par un tsunami dans le Sud du Brésil .  

La  question serait de savoir quel est le positionnement et l’influence des hommes envers la nature ?

Tout d’abord , il sera nécessaire de s’attacher aux comportement des hommes qui se croient au centre de la nature .

En premier lieu , concernant les actions qui on été décidée par les hommes , force est de constater que celles-ci étaient mal préparés . L’homme a en effet des avancés technologique comme nous le prouve Dagorn où les sociétés auraient réduits des risques de catastrophes grâce à la construction de bâtiments qui respectent des normes antisismique . Cependant ,cela-suffit -il pour contrer le chaos ? Bussi , au même titre que Voltaire , prétend que les hommes ne sont pas préparés . En effet , plus les hommes interviennent sur la nature ,plus leur capacité à en évaluer et anticiper les dégâts diminuent.

Quant à Voltaire , il s’appuie sur l’exemple d’un enfant qui aurait commit un crime pour avoir causé la mort de toutes ces victimes «  écrasés et sanglantes ».La photo illustre bien l’idée de chaos , d’une désorganisation produite par l’homme.

Dans un second lieu , nous nous intéresserons au déni des hommes face aux catastrophes . En effet , l’homme considère que ce n’est pas lui le responsable et se préoccupe peu des conséquences .Bussy s’appuie sur la superstition de l’homme lorsqu’il évoque qu’à l’époque , la catastrophe traduisait une colère divine , Voltaire reprend cette idée lorsqu’il dit que dieu se serait vengé . La photo illustre l’illusion d’optique : Dieu s’en serait pris aux plus pauvres.

Enfin , il sera nécessaire de s’attacher à l’ignorance de l’homme de la gravité des faits. Les auteurs nous exposent ici à trois idées essentiel . Bussy suggère que les hommes ne mesurent pas la gravité des catastrophes étant donnée que celles-ci sont refoulés dans l’inconscient . Puis, Voltaire nous démontre que les philosophes nient la gravité des faits , serait-ce pour jouir d’une normalité rassurante ? Nous le savons tous , nous nous en inquiétons tous mais rien ne change d’un point de vue économique et social .En effet , au cours des deux dernières décennies ,les alléas naturels on tués plus de  2 millions de personnes et 98% d’entre elles vivaient dans les pays à faible niveaux de développement . Lorsque Lisbonne est abimé , on danse  à Paris : cette métaphore soutenu par Voltaire résume bien les propos soutenues par les deux autres auteurs.

Dans un second temps , il sera nécessaire de s’attacher à la surexploitation de la nature et des conséquences qui en génèrent .

En effet , l’homme surexploite la nature . Le changement climatique ainsi que l’augmentation de la température moyenne des océans dont fait référence Dagorn est inéluctablement dû à la faute de l’homme . En effet , si l’homme polluait moins ,moins de gaz serait rejeté et ça éviterait les changement climatique. Bussy , quant à lui , évoque trois points essentiel :Tout d’abord , La croissance de notre pouvoir , pour ainsi dire une emprise grandissante des hommes sur le territoire . Puis , l’auteur rappelle que les ressources ne sont pas inépuisables dans un monde fini : en effet , les hommes on tendance à penser que la nature est sans limite et qu’elle est inexhaustible .Enfin , celui-ci critique non seulement la surconsommation des hommes ( surexploitation des métaux qui pollue par exemple) mais également leur ignorance face aux dégâts causés par l’oppression de la nature.

«  Les pays à fort risque sont tous à faibles produits national brut par habitant » , tels est l’un des points de ce corpus . En effet , Dagorn souligne ce propos avec de nombreux exemples démonstratifs : Un écolier a 400 fois plus de chance à mourir dans un tremblement de terre à Katmandou qu’à Tokio où les aléas séisme sont les mêmes . De ce fait , les pays pauvres on moins de moyens pour soigner et sauver les victimes. Ce propos est illustré par la photo du village de Bento-Rodriguès : le tsunami aurait provoqués 6 morts et  21 disparus .

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