Les Raisins De La Galère De Tahar Ben Jelloun

Les raisins de la galère

De

Tahar ben Jelloun

Introduction

a. Sujet

Le sujet ici est un roman de type texte narrative, les raisins de la galère de Tahar Ben Jelloun publier en 1996.

b. Objectif

Développer une analyse la plus complète possible de ce roman.

• Biographie de l’auteur

• Résumé du livre

• Les portraits des personnages principaux

• Analysé 3 thèmes

c. Source

http://fr.wikipedia.org/wiki/Tahar_Ben_Jelloun

http://www.taharbenjelloun.org/index.php?id=2

http://www.bible-service.net/site/609.html

http://www.espacefrancais.com/le-point-de-vue-dans-un-recit/#1

Sources image

http://booknode.com/tahar_ben_jelloun_1450

http://livre.fnac.com/a116048/Tahar-Ben-Jelloun-Les-raisins-de-la-galere

I. Biographie de l’auteur

Tahar Ben Jelloun est un écrivain et poète marocain de langue française, né à Fès le 1er décembre 1944 au Maroc.

A 6 ans, il rentre à l'école primaire franco-marocaine dans laquelle il rejoint l'école primaire du détroit de Tanger. Un an plus tard, Tahar entre au lycée Ibn Al Khatib. Par la suite, il entre au lycée français Regnault où celui-ci obtient son baccalauréat en 1963.

Le 23 mars 1965, il a vécu la répression et des arrestations lors des manifestations d'étudiants et de lycéens. Il est donc arrêté, soupçonné d’avoir organisé les manifestations et est envoyé dans un camp disciplinaire de l'armée. Ses études sont donc interrompues.

Libéré en janvier 1968, il reprend ses études. Dans la même année, il obtient un poste d’enseignant au lycée Charif Idrissi à Tétouan et publie son premier poème

« L’aube des dalles » écrit dans le camp. Octobre 1970, il est muté au lycée Mohamed V à Casablanca.

En septembre 1971, il émigre à Paris car ce n’est plus possible pour lui de donner cours au Maroc. En juin 1972, il écrit ces premiers articles "Technique d'un viol" et "Cicatrices du soleil". En 1973, il devient collaborateur-pigiste du journal Le Monde, et publie son premier roman " Harrouda " cette même année. Depuis cette date jusqu’en 2006, il a enchaîné les publications de livres, d’articles et de poèmes. En 2006 il quitte Paris pour s’installer avec sa famille à Tanger puis il est désigné Mentor section littéraire par la Fondation Rolex Mentors and Protégés puis en 2008 il est élu à l’Académie Goncourt. En 2009, il revient à Paris. En 2010, il devient chroniqueur mensuel à la dernière page du Monde et devient également président du Festival de théâtre Francophonies en Limousin.

Récompenses et distinctions

• Il est lauréat du Prix Goncourt en 1987, pour son œuvre La Nuit sacrée.

• Il reçoit le titre de Docteur Honoris Causa de l'Université catholique de Louvain (1993).

• Il reçoit le Prix IMPAC à Dublin en juin 2004. Ce prix, décerné par un jury international après une sélection faite par 162 bibliothèques et librairies anglo-saxonnes, couronne le roman "Cette aveuglante absence de lumière", écrit à la demande d'un ancien prisonnier du bagne de Tazmamart au Maroc, et après un entretien avec celui-ci.

• Il reçoit le Prix Ulysse en 2005 pour l'ensemble de son œuvre.

• Il est élu membre de l'Académie Goncourt, en remplacement de François Nourissier démissionnaire (2008).

• Il reçoit le titre de Docteur Honoris Causa de l'Université de Montréal.

• En 1976 il reçoit le prix de l'amitié franco-arabe pour son recueil de poèmes Les amandiers sont morts de leurs blessures.

• Le 1er février 2008, il reçoit des mains du Président de la République française Nicolas Sarkozy la Croix de Grand Officier de la Légion d'honneur.

• Le 20 juillet 2010, Tahar reçoit le prix international de poésie « Argana », décerné par la Maison de poésie du Maroc.

• Le 21 juin 2011, il reçoit le Prix de la paix Erich-Maria Remarque pour son essai L'étincelle. Révolte dans les pays arabes.

• En mai 2012, il est promu Commandeur de l'ordre national du Mérite

II. Résumé du livre

Le roman raconte l’histoire d’une jeune fille, Nadia d’origine kabyle qui vit avec sa famille dans la banlieue Parisienne. Elle se révèle être différente des autres femmes musulmanes.

L’histoire commence lorsqu’elle avait 10 ans et que sa grande sœur ainée de 16 ans se marie avec un Kader, un homme comme on les aiment chez les arabes dit Nadia.

Elle a toujours été soutenue par son père et beaucoup moins par sa mère qui est attachée aux traditions. Après avoir été expulsés de leur maison par le maire injustice, ils ont dû quitter leur maison située au centre-ville pour aller s’installer dans les banlieues. Une maison dont son père a travaillé toute sa vie. Brisé, le père tombe en dépression, il comprend alors qu’en France comme en Algérie il y a une justice pour les riches et une autre pour les pauvres.

Suite à ces évènements, elle promet de venger son père. Elle fait la rencontre d’un jeune homme, Marc. Ils ont une relation sérieuse et partagent beaucoup de moments ensemble notamment dans cette maison de la culture où elle le rejoint dans son travail

...