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Les Morales Des Fables De La Fontaine

Mémoire : Les Morales Des Fables De La Fontaine. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  1 Octobre 2011  •  669 Mots (3 Pages)  •  5 536 Vues

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Politique et International / Les Morales Des Fables De La Fontaine

Les Morales Des Fables De La Fontaine

Commentaires Composés: Les Morales Des Fables De La Fontaine

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Soumis par: Jessamine 22 septembre 2011

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Mots: 2783 | Pages: 12

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veut avoir des Pages. »

Ici, La fontaine met en garde contre l’orgueil et la vanité : à vouloir imiter les autres, la grenouille en est morte. Quand on en veut toujours plus, cela peut mal finir.

Les deux mulets

Cette fable nous conte l’histoire de deux ânes qui marchaient ensemble: l’un portant de l’avoine, et l’autre de l’argent de la gabelle. Celui portant l’argent se fait attaquer et est blessé. L’autre âne lui dit « Il n’est pas toujours bon d’avoir un haut emploi ». L’âne qui servait un meunier avait un « emploi » moins élevé, moins important, mais au moins il est en bonne santé car on ne l’attaque pas, car ce qu’il transporte n’est pas « important ».

Le loup et le chien

Un loup affamé et affaibli rencontre un chien gras, beau et puissant. Le loup fait des compliments au chien qu’il admire, et celui-ci lui dit que si il veut être aussi bien soigné que lui, il n’a qu’à le suivre, et obéir à son Maître. Mais la contrepartie de ces soins est que le chien est attaché et qu’il est au service son Maître, justement. Le loup lui répond qu’il préfère être affamé mais libre, que bien nourri et asservi. La morale de cette histoire est que la liberté n’a pas de prix. Il vaut mieux être libre mais affamé, que bien nourri mais attaché.

La génisse, la chèvre et la brebis, en société avec le lion

C’est l’histoire d’une génisse, d’une chèvre et d’une brebis qui décident de s’associer à un lion (le seigneur du voisinage) pour partager les gains et le dommage. Un cerf se trouve pris dans les lacs de la chère. Celle-ci convie ses associés pour le partage. Le lion découpe le cerf en 4 parts et avertit les autres que les 4 morceaux sont pour lui. Il les met en garde et menace de les étrangler si ils touchent aux morceaux de viande, en avançant des arguments douteux. La morale est explicite :

« La raison du plus fort est bien sûr la meilleure » Ici, cela signifie que même si ce que dit le plus fort (ici le loup) n’est pas vrai, comme il est le plus fort, c’est ce qu’i

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