Les Fleurs Du Mal, A Une Passante, Charles Baudelaire, 1857
Note de Recherches : Les Fleurs Du Mal, A Une Passante, Charles Baudelaire, 1857. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar diidii67 • 12 Avril 2015 • 364 Mots (2 Pages) • 1 072 Vues
1) le cadre saptio temporel
L'utilisation des pronoms à la première personne( « je », « me », « moi ») indique que c'est le poete, Charles Baudelaire, qui parle.
Il se trouve dans la rue : « la rue assourdissante », plus précisément à la terrasse d'un café. « je buvais »
Un événement bouleverse le poète : le passage d'une femme dans la rue.
2) Portrait morales et physiques de la passante
« mince » vers2, « agile » vers5, une main riche, ornée de bijoux « main fastueuse » vers3 La métaphore « dans son œil ciel livide ou germe l'ouragan » vers7, nous donne des informations supplémentaires sur son physique et son caractère : elle à les yeux bleu clair mais un tempérament de feu.
Le poète compare également sa jambe a une ouvre d'art tant elle est parfaite, « sa jambe de statue » vers5
On sait également qu'elle est vêtu de noir « en grand deuil » vers2
La passante est douce « douceur » vers8, triste , champs lexical de la tristesse « deuil », « douleur » et elle a un air digne « noble » vers5
3) construction du poème
Le poème est écrit en alexandrins ( souvent les alexandrins sont signe d'amour , pour rendre hommage)
IL est constitué de quatorze vers répartis en quatre strophes : deux quatrains suivis de deux tercets : c'est donc un sonnet.
Dans les quatrains, les rimes sont embrassées ( ABBA) et dans les tercets, elle sont croisées (ABAB) puis suivis (AABB)
4) Les sentiments du poète
Cette rencontre provoque un choc. C'est un coup de foudre « un éclair.. puis la nuit » Cette phrase nominale est une métaphore. L’apparition de la femme est comparé a un éclair. Sa disparition est comparé a la nuit.
« ailleurs, bine loin d'ici ! Trop tard ! Jamais peut être ! » Les tournures exclamatives et l'absence de verbe conjugué dans ce vers, montre que le poète est totalement bouleversé par l’apparition de cette femme.
Cette rencontre provoque a la fois la joie et la tristesse du poète
- la joie car elle la fait « renaître », hyperbole qui montre que cette rencontre a redonné l'envie de vivre au poète
- la tristesse parce qu'il sait qu'il ne la reverra pas « ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? »
5) Conclusion
C'est un poème lyrique puisque l'auteur exprime de manière poétique un sentiment personnel intense : le fait que il soit tombé amoureux de cette passante.
...