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Lecture analytique, chapitre 4, Micromégas, Voltaire.

Commentaire de texte : Lecture analytique, chapitre 4, Micromégas, Voltaire.. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  19 Novembre 2016  •  Commentaire de texte  •  1 263 Mots (6 Pages)  •  7 085 Vues

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Français : devoir 2 : Micromégas

Introduction :

  1. Voltaire, François Marie Arouet de son vrai nom, est un écrivain, auteur dramatique, poète, philosophes des Lumières français. Il est considéré comme le chef de file du parti philosophique, il se bat pour la tolérance et la liberté de pensée contre le fanatisme religieux. Il est engagé au service de la vérité et la justice pour défendre des victimes de l'intolérance religieuse. Ces œuvres sont variés, il doit sa célébrité à son théâtre, à sa poésie et à ses œuvres historique. Micromégas, parut en 1752, est l'une de ses premières œuvres philosophiques, avec celle-ci, Voltaire s'impose comme le créateur d'un nouveau genre, le conte philosophique. Cette ouvrage est l'un des plus représentatif des Lumières car il contient des réflexions de critiques sociales, religieuse, morale, philosophique et des réflexions sur l'homme comme on peut le voir dans cet extrait de l’œuvre. Dans ce chapitre, on s’interroge sur la réflexion philosophique autour de la condition humaine

  1. lecture expressive.

      3)plan : Je vais développer ma réponse en 2 axes, dans un premier temps, je vais reprendre les caractéristiques du conte pour expliquer la mise en scene de la fantaisie et le regard de géants sur la planète terre. Dans une seconde partie, je dévelloperais la réflexion philosophique de ce conte et la critique porter sur l'homme.

4) L'extrait de texte, qui est étudié est un conte philosophique, donc il a les même caractéristique qu'un conte classique. Ce conte introduit des personnages merveilleux, venus d'une autre planéte, leur caractéristique dépassent l'échelle et les lois humaines. En effet, micromégas et un géant qui vient de Sirius, comme l'indique son éthymologie micro petit méga grand : « les pas ordinaires du sirien et de ses gens étaient d'environ trente mille pieds ». Et son compagnon, le saturnien, a l'inverse est considéré comme un nain :  « le nain de saturne suivait de loin en haletant ; or il fallait qu'il fit environ douze pas, quand l'autre faisait une enjambée. » De plus, leur déjeuner correspond à leur grandeur : « ils mangèrent à leur déjeuner deux montagnes que leurs gens leur apprêtèrent assez proprement. » L'hyperbole est le moyen utilisé pour accentuer le gigantisme de ces étrangers.

Comme souvent dans un conte classique, la notion de voyage est présente, la rencontre avec l'autre, les personnage sont amenès a partir de leur planéte pour explorer l'univers : « Ensuite, ils voulurent reconnaître le petit pays où ils étaient. »

Voltaire satisfait donc le premier rôle d'un conte, plaire et faire rêver.

La terre est décrite par des géants, le narrateur est omniscient et le regard porter sur la planéte est plutôt négatif. La petitesse est la principale caractéristique touché , tout est petit, une métaphore est bien marqué :  « après avoir vu cette mare, presque imperceptible pour eux, qu'on nomme la méditéranée et cet autre petit étang qui, sous le nom du Grand océan, entoure la taupinière. » La terre est vue comme une taupinière, l'hyperbole est a nouveau utilisé pour croître la différence entre le monde des humains et le reste. «  Le nain n'en avait qu'a mis jambes. » Cette phrase est l'une des plus fortes car elle utilise la notion de petitesse,  le nain pour comparé qlqchose, qui a l'échelle humaine est gigantesque. Derrière cette fantaisie marqué, ont retrouve une réflexion philosophique.

Pour chaque conte philosophique, il y a une critique. On retrouve une réflexion derrière la fantaisie de ce conte. Les rôles sont inversés, l'être inconnu sur qui sont portés les interrogations est l'humain. Voltaire instaure le relativisme,  il mais en avant ces différences, en effet le sirien est plus grand que le saturnien mais tout deux sont plus que la planète terre  « Le nain n'en avait eu jamais cas mi jambes et a peine l'autre avait-t-il mouillé son talon » cette insistance a pour but de créer une réflexion philosophique en prenant conscience des différences de chacun. Le voyage pemet donc la rencontre avec l'autre, et, au dela de sa différence, le constat d'une nature universelle et commune, les deux étrangers connaissent les différentes choses constituant la terre, les montagnes, une marre, un étang.

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