Le vin du solitaire analyse

Au 19ème siècle, Charles Baudelaire a vu le jour. Il est du mouvement du romantisme et cela apparait dans son recueil de poème intituler « Les fleurs du mal ». Avant son temps, il emploi les méthodes des symbolistes dans ses poèmes. Au travers des paradis artificiels, il essaye de trouver du réconfort comme nous pouvons le voir dans le poème intituler « LE VIN DU SOLITAIRE ». Je vais expliquer comment le vin réconforte plus le poète que les autres sensations qu’il a trouvées. Cette analyse traitera du regard que porte la femme sur le poète, sur des sentiments que le jeu, la femme et la musique lui apporte, du vin qui est le meilleur réconfort pour le poète et de la description de l’effet que sa lui procure.

Dans le poème de Charles Baudelaire, le regard que porte la femme galante sur le poète est une forme de sensation pour lui. Le « regard singulier », la « femme galante » et « sa beauté nonchalante » que l’on retrouve au vers 1 et 4 explique qu’il ne cherche pas l’amour, mais la fille d’un soir qui est peut-être une escorte. Par la suite, le champ lexical de lumière étant employé comme le « rayon blanc » et la « lune onduleuse » v.2-3 montrent que la lumière qui passe sur la femme en montrant ses courbes est comme la lumière qui passe au travers du vin. De plus, on se rend compte que le poète a toujours un arrière pensé pour le vin parce qu’on peut identifier un champ lexical d’eau (au lac tremblant) et « elle y veut baigner » v.3-4. Il fait référence à l’eau parce que le vin est principalement constitué d’eau. Deuxièmement, le jeu, la femme et la musique apporte chacun une sensation différente au poète. Le jeu lui apporte un sentiment de chance et d’espoir puisqu’il écrit au v.5 « le dernier sac d’écus » et ceci est la dernière chance qu’un joueur peux avoir de se faire de l’argent. La femme encore une fois lui apporte un sentiment d’excitation et non d’amour puisqu’on remarque au v.6 « un baiser libertin » qui a plutôt une connotation sexuelle. La musique l’amollie et lui calme les nerfs puisqu’il la clairement marqué au v.7 « une musique énervante ». Elle est énervante dans le sens d’amollissante. Tout ceci a pour but de s’éloigner de la réalité humaine, se qui explique la recherche du paradis artificiel. Troisièmement, le vin est le meilleur réconfort que le poète peut avoir parce qu’il n’a pas de fin. « Ô bouteille profonde » au v.9 explique que le poète n’en a jamais assez du vin, sans doute qu’il est alcoolique, et s’enfonce dans le paradis artificiel. Également, le vin lui procure un calmant qui répare et réconforte son cœur puisqu’on explique au v.10-11 qu’il a un « cœur altéré, con- » et que le vin est comme une « baumes, con+ ». De plus, la « panse féconde » de la bouteille de vin fait renaitre le poète se qui le guérie. Bref, le vin est rendu une source divine à ses yeux parce qu’il est « pieux » v.11 du vin. C’est-à-dire, que le poète vénère le vin parce qu’il l’apaise. Finalement, l’effet que procure le vin sur le poète est décrit comme étant une sorte de rajeunissement. « L’espoir, con+ », « la jeunesse, con+ » et « la vie, con+ » sont toutes des choses qu’un paradis artificiel lui procure. Le paradis artificiel lui enlève aussi ses inhibitions, donc il est plus confiant et ne pense pas à sa condition de « gueuserie, con- ». Pour finir,

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