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Le dernier jour d'un condamné - analyse

Commentaire d'oeuvre : Le dernier jour d'un condamné - analyse. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  5 Mai 2018  •  Commentaire d'oeuvre  •  1 519 Mots (7 Pages)  •  1 077 Vues

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Univerzita Palackého v Olomouci

Filozofická fakulta

Hana Kavalcová

Victor Hugo - Le Dernier Jour d’un condamné

L'analyse d’un court récit

Seminární práce do předmětu Úvod do studia francouzské literatury

Olomouc 2016

  1. Introduction

Dans ce travail, j’essaierai d’analyser la nouvelle Le Dernier Jour d’un condamné de Victor Hugo, un poète, prosateur et dramaturge romantique et  l'un des plus grands écrivains français.

Victor Hugo (1802 – 1885) est né à Besançon comme un fils d'un général républicain et une royaliste catholique. Bien qu’il était un grand monarchiste dans sa jeunesse, il est devenu l'avocat des idées libérales et républicains. Pour avoir exprimé son opposition à l'empereur Napoléon III, il a dû s'exiler à Jersey et puis à Guernsey. Son exil a duré près de vingt ans. En 1859, il a refusé l'amnistie de l'empereur, et il a retourné en France jusqu'à 1870, après la chute de Napoléon, en devenant le symbole de la résistance républicaine. Dans sa vie, il a aussi combattu pour des causes sociales, comme l'abolition de la peine de mort et les droits des femmes.

Hugo est le plus connu dans le monde pour ses romans (Les Misérables, Notre-Dame de Paris, L’homme qui rit), mais il a gagné sa renommée littéraire avant tous pour ses oeuvres poétiques. De ceux-ci il faut mentioner des recueils lyriques Odes et Ballades, Les Feuilles d'Automne et Les Contemplations, un receuil des poèmes satyriques engagé contre Napoleon III Les Châtiments, et un grand oeuvre épique La Légende des Siècles. Il a aussi écrit des drames, notamment Hernani.

Le Dernier Jour d’un condamné, publié pour la première fois en 1829, est une histoire d’un homme qui a été condamné à mort. La nouvelle est présentée comme un journal du condamné écrit pendant les dernières vingt-quatre heures avant son exécution. Victor Hugo y décrit le tourment mental du condamné et et en faisant ça, il renonce la peine capitale.

  1. Résumé

Dans les années 1820, à Paris, un homme est condamné à la guillotine, son identité et les raisons pour sa condemnation inconnues aux lecteurs. Avoir obtenu de papier et un stylo de la part d’un des geôliers, il décide d'écrire un journal. Là, il décrit les derniers jours de sa vie: de son procès, à son exécution. Il raconte des transferts entre les différentes prisons, les ferrements des forçats qu’il témoins, sa rencontre avec un « friauche » - un autre condamné à mort, la visite du prêtre dans son cachot, son espoir d'obtenir une grâce, et son transfert à l'hôtel de ville pour y être finalement décapité devant un grand nombre des spectateurs.

Pendant tout ce temps, il est tourmenté par l’idée de la mort et dans son journal, il écrit les états de son âme. Il se souvient de son enfance et sa vie d’avant. Il pense aussi à sa famille – sa mère, femme, et avant tous sa petite fille de trois ans, Marie, qui visite le condamné dans la prison, mais qui ne lui reconnaît plus.

  1. Analyse
  1. Titre, organisation du texte

Le titre de cette nouvelle présent aux lecteurs le thème de l’oeuvre – la peine de mort. Il réfère aux dernières 24 heures de la vie du condamné dans lesquelles il écrit en forme d’un journal son histoire.

La nouvelle est divisée en quarante-neuf chapitres de la longueur variable (il y a l’arternance des chapitres de quelque lignes et ceux qui sont plus longs), et ceux-ci sont divisé en trois groupes selon l’endroit où le condamné se trouve : Bicêtre, Conciergerie et l’Hôtel de Ville.

  1. Temps et espace

L’histoire se déroule dans les années 1820 pendant les cinq semaines dernières avant l’exécution du condamné.

L’espace est clos et statique, il y a trois lieux dans lesquels l’histoire se déroule : la prison de Bicêtre, la prison de la Conciergerie, et une chambre de l'hôtel de Ville, juste avant son exécution.  Il y a des descriptions détaillées des lieux, par exemple de son cachot. 

  1. Composition

L’ordre de l’oeuvre n’est pas chronologique. Il y a plusieurs analepses : par exemple quand le narrateur décrit en retrospect son procès, ses souvenirs de son enfance et son amour  d’enfance, Pepa, et ces chapitres alternent avec ceux qui décrit l’état de l’ame du condamné, et ses pensées varieuses. Les chapitres suivent l’un l’autre dans une manière alétoire, comme les pensées apparaissent au condamné.

Le récit est un monologue interne. Dans les descriptions des événements passées, il y apparaît des dialogues aussi. En plus, il y a un grand nombre des pauses descriptives.

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