Le but de la littérature est-il de donner une existence aux groupes minoritaires ou dominés aux yeux des groupes majoritaires ou dominants ?

        La littérature a était produite dans le but de plaire et instruire. Elle a était alors sujet à des censures de la part de l'église, qui jugait cernaines oeuvres trop ingénieuses. Ainsi, pour résumer le propos du philosophe Jacques Rancière dans Le partage du sensible, le but de la littérature est de donner une existance aux groupes minoritaires ou dominés aux yeux des groupes majoritaires ou dominants. Nous répondrons à ce propos en exposant un plan tel que : certes la littérature a souvent reflété les pensées majoritaires, mais plusieures oeuvres sont apparues pour défendre de nouvelles prises d'opinions, ainsi ces groupes dominés prennent de la valeur sur les groupes dominants.

        Certes la littérature a souvent reflété les pensées majoritaire puisque tout dabord, il faut savoir lire pour avoir accés à la littérature et il faut savoir écrire pour dire ce que l'on pense, mais aussi, beaucoup d'oeuvres étaient censuraient par le roi ou encore l'église car il ne fallai pas penser autrement.

        Pour constitué un poème, un roman ou tout simplement une oeuvre, il faut savoir lire et écrire. Or, cette capacité n'est pas égale à tous. En effect, pendant des millénaires, seul les scribes et les bourgeois savaient lire et écrire. Une grande majorité des paysans ne disposaient pas de cette capacité. Comme l'a dit Christopher Marlowe, “Je ne sais pas lire, et souhaite ainsi que tous les livres soient brûlés. Malgrès le fait de savoir lire et écrire, les pensées majoritaires apparaissaient toujours.

         Malheusement, cela ne suffisait pas de savoir lire et écrire puisque si un ouvrage paraissait trop inovateur, ou qui portait ateinte au roi ou à la religion, il était censuré. Plusieures personnes avait le droit de censure : en premier la censure de l'Etat (ou royale) et en second le censure de l'église (ou la religion). Beaucoup d'oeuvres étaient censuraient à l'époque, Voltaire invente donc un nouveau style littéraire : le conte philosophique. Il contourne alors la censure avec par exemple Candide, qui est son conte philosophique le plus achevé. Il y raconte l'histoire de Candide, un jeune garçon crédule et assez naif. Il aime en secret la fille du baron de Thunder-ten-tronckh et a une admiration pour son maitre Pangloss qui lui enseignait la philosophie de l’optimisme selon laquelle « tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles ». Mais un jour, expulsé du château du baron, il sera propulsé dans un monde et il y découvrira la guerre, la superstition, l’esclavage et la noirceur de l'âme humaine. Petit a petit, il se rendra compte qu’il avait été dupé par Pangloss en croyant à sa théorie absurde. Dans cet oeuvre, il dénonce l'Etat (représenté par Pangloss) de garder le peuple (représenté par Candide) dans l'ignorance.

        Donc la littérature refléte en majorité les pensées des dominants, puisque ces derniers sont la partie de la population qui sait lire et écrire mais de meme c'est cette partie qui s'occupe de censurer les oeuvres, afin d'éviter justement de mettre en valeur les dominés mais aussi qu'ils ne pensent pas par eux même.

        Mais plusieurs oeuvres sont apparues pour défendre de nouvelles prises d'opinion, avec des penseurs aux idées révolutionnaires et de nombreux questionnement au sujet de la société.

        Ainsi, plusieurs penseurs sont apparus afin de montrer que les minorités existent et pour qu'elles pensent par elles-même. Le siècle des lumières est très représentatif de ce but. Ce mouvement intellectuel est né en Europe au XVIIIe siècle. Il est créé par des philosophes, maintenant appelés philosophes des Lumières, et des intellectuels afin de combattre l'obsurantisme (contre la diffusion du savoir) et au contraire de diffuser les connaissances. Ils s'opposent au abus de l'église et de l'Etat. L'Encyclopédie est l'oeuvre la plus connue de ce siècle. C'est un ouvrage qui est une synthèse des connaissance du temps où elle a été écrite. Elle permet donc à la population ne pouoir se cultiver et de se creer sa propre opinion, et donc de faire bouger la société. 

        Avec ces penseurs, la société se réformait. Prennons le sujet de l'esclavage. Cette supprétion de liberté a toujours existée, que ce soit au niveau de l'esclavage agricole, domestique ou dans les mines, et est souvent des traites négrières. Ceci constituait une grande valeur économique puisque les esclaves étaient vendus au plus offrant. Marivaux le montre bien dans sa pièce L'île des esclaves où l'on retrouve Arlequin avec son maître Iphicrate. Ils font naufrage et débarquent dans l'île des esclaves, une île créée il y a une centaine d'année par des esclaves révoltés contre leur maître. Dans cet endroit, une régle : les maîtres deviennent des valets et les valets des maîtres. Ainsi, Iphicrate devient esclave et Arlequin devient maître. Sont avec eux Cléanthis (esclave) et Euphrosine (maître). Après avoir échangé leur vêtements et leurs noms, chaque ancien serviteur doit dire ce qu'ils pensent de leur nouvel exclave. Après avoir voulu se vanger contre les anciens maîtres, Arlequin et Cléanthis leur pardonnent et leur redonnent le statue de maître. Ainsi, Trivelin, le responsible de l'île, annonce que "Nous aurions puni vos vengeances comme nous avons puni leurs duretés". Les maîtres ont donc compris ce qu'enduraient les esclaves et ces derniers ont étaient mis en valeur.

...