Le Théatre De L'absurde Beckett Fin De Partie

Fin de partie, une pièce du Théatre de l’absurde. .Fin de Partie, est l’une des œuvres les plus connues de Samuel Beckett. Pièce de théâtre écrite en 1957 en français, à Londres

Fin de partie » est une pièce de théâtre écrite par Samuel Beckett, dramaturge irlandais du Xxème siècle s'exprimant en français. Elle est paru en 1957,. Dans cette œuvre, Beckett s'intêresse à la façon de percevoir la vie, son sens et se fin, à travers le regard de Clov et Hamm., mais l'action tourne à vide tout au long de la pièce, accompagnée de dialogues vides de sens.

Ainsi, dans cet extrait, Beckett rapporte le dialogue entre Clov et Hamm.

En outre, ce passage inspire de la pitié envers Clov et Hamm, ces deux personnages dont les dialogues restent incohérents et sans réel but. A travers conversation est donnée une impression de réalité, cet extrait est donc à tonalité réaliste pathétique.

Le théâtre de l’absurde est un genre théâtral apparu vers le milieu du XXe siècle, il est représenté par des auteurs tels que Ionesco ou Beckett. Il se caractérise par sa destruction des valeurs du théâtre classique, et par l’image qu’il donne d’une humanité dérisoire, d’une vie absurde, d’une existence futile, inutile, prête à finir à tout moment.

L’œuvre Fin de Partie, de Beckett, représente parfaitement ces aspects du théâtre de l’absurde.

Dans un premier temps, elle bafoue les règles du théâtre traditionnel. Fin de Partie méprise les conventions du théâtre classique. Cette pièce ne respecte ni la règle des trois unités, ni celles de la vraisemblance et de la bienséance Tout d’abord, il n’y a plus d’unité de temps, il n’y a plus de temps tout court.

Dans Fin de Partie, pas d’actes, pas de scènes, donc pas d’ellipse. Le spectateur n’a aucun repère temporel fiable, aussi bien par cette construction de la pièce, que par les dialogues et les événement de la pièce elle-même.

Dans un second temps, elle est régie par des situations incohérentes, et burlesques. Dans un dernier temps, elle expose bien l’absurdité de la vie, son absence de logique, de sens, de raison d’être. une des cibles récurrente du pessimiste Beckett

. Dans Fin de partie sa scène d'exposition est commencée par une didascalie, qui décrit essentiellement les déplacements et attitudes des personnages. Le décor est minimal, et il est également difficile de dater ou de situer le lieu de l'action. Ce début est appelé "in médias res", car le spectateur est directement plongé dans l'action, ce qui signifie le non respect des attentes du spectateur. Nous allons analyser les différents éléments que cette scène d'exposition n'a pas.

Le lieu décrit ne renvoie pas à un endroit qui pourrait être conforme à une réalité, ce qui permet de "troubler" la compréhension du spectateur par le biais de la didascalie comme par exemple "intérieur sans meuble" , "fenêtres haut perchées" , et "tableau retourné". D'autres fragments de diascalie renvoient à l'idée de l'enfermement comme "lumière grisâtre" , "rideaux fermés" , et " d'un recouvert vieux drap". Ces éléments relèvent

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