Le Regard Des Auteurs Sur Le Nouveau Monde

Dans les lignes qui suivent, nous allons étudier les regards que portent les auteurs sur le Nouveau Monde. Pour appuyer notre problématique, nous allons utiliser une lettre de Christophe Colomb à Louis de Santangel qui date de 1493. Egalement un extrait d’Histoire d’un voyage fait en terre de Brésil de Jean de Léry qui date de 1578, dans cet extrait, l’auteur nous fait part d’une conversation qu’il a entretenu avec un indigène qui critiquait les mœurs des Français. Le dernier extrait vient des Essai de Montaigne, de 1593, dans ce texte Montaigne défend la cause des « sauvages » du Nouveau Monde. Nous verrons dans une première partie les aspects positifs des trois textes, ensuite nous étudierons les aspects négatifs des textes. Et pour finir, nous verrons comment les auteurs ont voulu éclaire le peuple Français.

Nous pouvons voir que, dans les trois textes, les auteurs parlent d’une façon positive des indigènes. La générosité des habitants est fortement exprimée dans ces textes. Dans le premier texte, ont peut retrouver le champ lexical de la générosité : généreux, ne disent jamais non,… . Christophe Colomb insiste sur la générosité des indigènes dans le dernier paragraphe du texte, une foi mit en confiance ils ne disent jamais non. Egalement, dans le deuxième texte, l’indigène se demande pourquoi l’européen vient prendre leurs ressources mais ne l’en empêche pas. C’est donc encore une preuve de la bonne volonté des indigènes de vouloir s’intégrer, et a bien vouloir partages leurs ressources. Dans le troisième texte, celui de Montaigne, l’auteur nous démontre que les indigènes sont heureux avec ce qu’ils ont et ne demandent pas plus, leurs causes de guerres sont justes, ils ne font pas ca pour agrandir leur territoire ou pour dominer les autres tribus.

Nous pouvons aussi remarques que les indigènes font de leur mieux pour intégrer les européens chez eux. Dans le deuxième paragraphe du premier texte, l’auteur argumente en disant qu’il était très bien intégrer et qu’il avait gagne leur confiance totale. Dans le texte de Jean de Lery, on peut observer que l’auteur entretient un dialogue soutenu entre les deux protagonistes, cela montre que les indigènes font de leur mieux afin d’intégrer et de dialoguer avec les européens.

Malgré les aspects positifs, nous pouvons aussi relever des aspects négatifs. Par exemple, dans le premier texte nous pouvons relever le champ lexical de la peur (fuyaient, peur,…), cela porte un effet négatif sur le texte. Le but du texte est de décrire les indigènes afin de voir si les européens pourront les coloniser. Le texte en général est donc négatif. Nous pouvons également relever dans le texte deux une sorte de gaine pour les indigènes, l’auteur ne supporte pas de recevoir des remarques de la part des indigènes, il trouve ca étonnant mais ne le supporte pas.

Les auteurs veulent avant tout faire apprendre leurs connaissances sur le nouveau monde. Dans le cas de Colomb, il veut montrer que les indigènes sont colonisables et ne sont pas une grande menace pour le peuple européen. Dans le deuxième cas, l’auteur montre que les indignes sont également capables de dialoguer et de raisonner comme les européens. Qu’ils peuvent penser, avoir leurs propre avis et pouvoir donner une opinion. Le troisième texte n’est fait que pour apprendre, pour protéger

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