La nuit - Owak

Quand la nuit me sourit, j'imagine son visage,

Une beauté lumineuse qui scintille doucement.

Quand, à coté de moi je la rêve d'un rêve sage,

Mes yeux se ferment lentement sur son image.

Un tourbillon se crée sous mes paupières,

Quand elle disparaît dans ma tristesse,

Et que je perds de vue son amour éphémère.

Je cours dans les ronces de ma colère,

Assailli par toutes mes pensées noires,

Alors qu'elle s'enfuit loin de moi,

Je cours, la poursuis, et la perd de vue.

Et je m'arrête. Une plaie sur le cœur.

A quoi bon espérer,

Quand on sait que c'est perdu d'avance ?

Pourquoi ne pas juste s'arrêter,

Se poser, réfléchir jusqu'à décrépir.

Quand ma nuit ne me sourit plus,

Je m'endors, des larmes dans les yeux,

J'oublie ce que veut dire le mot heureux,

Je me perds dans les larmes grises de mon âme,

Et je regarde ces perles de joie qui défilent dans ma tête.

Tous ces souvenirs des temps passés.

J'hésite. Les écraser de mon poing ou les garder ?

Ma faiblesse l'emporte. Elle va me tuer.

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Quand la nuit me sourit, j'imagine son visage,

Une beauté lumineuse qui scintille doucement.

Quand, à coté de moi je la rêve d'un rêve sage,

Mes yeux se ferment lentement sur son image.

Un tourbillon se crée sous mes paupières,

Quand elle disparaît dans ma tristesse,

Et que je perds de vue son amour éphémère.

Je cours dans les ronces de ma colère,

Assailli par toutes mes pensées noires,

Alors qu'elle s'enfuit loin de moi,

Je cours, la poursuis, et la perd de vue.

Et je m'arrête. Une plaie sur le cœur.

A quoi bon espérer,

Quand on sait que c'est perdu d'avance ?

Pourquoi ne pas juste s'arrêter,

Se poser, réfléchir jusqu'à décrépir.

Quand ma nuit ne me sourit plus,

Je m'endors, des larmes dans les

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