La Princesse de Clève cas
Discours : La Princesse de Clève cas. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar Christophe Hoyau • 16 Mars 2016 • Discours • 354 Mots (2 Pages) • 582 Vues
La Princesse de Clèves
J’entrais dans la cour en compagnie du vidame, c’était un immense lieu où je voyais plein de personne noble et de souverain, tout le monde me regarda comme si j’étais une déesse. Autrefois ma mère Madame de Chartres une des plus grandes héritières de France s’était mariée à mon père Monsieur de Chartres qui mourut quand j’étais très jeune et on m’avait laissé sous la conduite de ma mère qui a dû m’élever toute seule durant tout c’est année. Ma mère, cette femme était la meilleure, elle avait de la vertu du mérite, elle était extraordinaire. Durant toutes ses années où mon père était mort Madame de Chartre c’était retirée de la cour pour faire son deuil. Durant toute cette absence mon mère m’a donné ses soins à mon éducation. Elle m’a cultivé à devenir une belle fille avoir de l’esprit et être vertueuse. Ma mère était différente des autres mères qui ne parlaient jamais des hommes, de galanterie pour éviter que leurs filles tombent amoureuses, alors que ma mère me faisait des peintures de l’amour elle me montrait ce qu’il avait d’agréable pour me persuader plus aisément sur ce qu’elle m’apprenait de dangereux, elle me contait le peu de sincérité des hommes, leurs tromperies et leur infidélité, les malheurs domestiques où plongent les engagements, elle me faisait voir ce qu’il avait de bien d’être une honnête femme, la tranquillité, et combien la vertu donnait de l’éclat et d’élévation à une personne qui avait de la beauté et de la naissance. Mais elle me faisait voir combien il était difficile de conserver cette vertu, que par une extrême défiance de soi-même, et par un grand soin de s’attacher à ce qui seul peut faire le bonheur d’une femme, qui est aimer son mari et d’en être aimée.
J’étais l’héritière de l’un des plus grands partis qu’il eut en France. Même si j’étais jeune, on m’avait déjà proposé plusieurs mariages. Ma mère qui était extrêmement glorieuse à voulut m’emmener à la cour dès ma seizième année car elle ne trouvait presque rien de digne de moi.
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