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La Princesse De Cleve

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Par   •  13 Novembre 2013  •  796 Mots (4 Pages)  •  899 Vues

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SEQUENCE 1 : LA1

Introduction :

Madame de La FAYETTE => auteur du XVII ème siècle

=> origine aristocratique => fréquente cour de Louis XVI

=> fréquente les salons => elle en ouvre un (cercle ou se rencontre les nobles pour des activités Mondaines et Littéraire)

=> rédige en La princesse de Clèves 1678 sous couvert d'anonymat.

Les personnages éponymes sont:- Mademoiselle de Chartres (beauté parfaite, éducation très vertueuse délivré par sa mère)

- Monsieur de Clèves (mari de de Mlle de Chartres).

Les 2 personnages assiste au bal de fiançailles royales.

Mlle de Chartres danse avec M de Némours (homme extrêmement séduisant) => scène de rencontre.

Que nous apprend cette rencontre sur les personnages, les protagonistes et le cadre ?

I- La mise en scène de la rencontre.

Jour de fiançailles au Louvre « nous somme au bal festin royale »(l.2), « on a une porte » (l.4), « il y a des sièges » (l.8) => peu d'élément concernant le décor l'auteur va directement a l'essentiel (les personnages).

Ordre du roi montre que Mme de Clèves est au centre de la pièce avec M de Némours. 4 occurrences de M de Némours et 5 pour Mme de Clèves.

Narration à la 3ème personne (une femme) « ce prince était […] voir »(l.10). Elle est spectatrice de la scène => joue rôle du lecteur en le faisant devenir spectateur.

Narration au point de vue externe. Scène du bal la narratrice est eterne mais la 1er phrase pourrait être omniscient.

Le point de vue et défoi celui d'un personnage. Point de vue devient interne (l.18) personnages focalisateur (roi/renne), M de Nemours (l.14), Mme de Clèves (l.7) => cette variation permet d’être à la foi à l'intérieur et à l'extérieur de la scène.

L'arrivé des 2 protagonistes est décalé => impression de destiné. « ne que » (l.8) => tournure restrictive. (!) « dabord » = tout de suite. « Ce prince était fait […] un grand étonnement » (l.9à13) => la conjonction de coordination « mais » sépare les 2 segments de la phrase. Opposition du ppoint de vue de Mme de Clèves avec celui de M de Némours => soucis de parallélisme. (!) au XVII ème « étonner » = frapper du tonnerre, « étonnement » = sens fort. Les 2 segment sont déséquilibré car plus d'importance est accorder a la femme.

=> Nous assistons donc à un coup de foudre mais nous pouvons nous demander si les personnages sont maître de leur destin.

II- Le cadre dans lequel

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