La Nature Et Le Culture Dans Paul Et Virginie

Dans le roman «Paul et Virginie» de Bernardin de Saint-Pierre, les deux thèmes de la nature et la culture se rejoins en opposition pour donner une histoire complexe et captivant. L'île sert comme symbole de la nature, pendant que Paris est le symbole de la culture. L'intention de l'auteur est de montrer la valeur d'une vie simple, en dehors des complications de la société. Selon lui, la nature est bonne, et la culture est destructrice. Il montre ainsi les dangers de ne pas préparer les enfants pour les réalités de la vie. Le contraste entre les deux thèmes est telle que l'introduction de l'un dans l'autre change complètement le chemin de l'histoire.

Mme de la Tour et Marguerite sont tous les deux rejeter par la société, et elles se trouvent à l'île de France pour échapper la société cruelle. Elles décident de vivre simplement en harmonie avec la nature. Elles avait chacune un enfant. Les mère n`ont rien enseigné aux jeunes à propos de la religion, les sciences, ou la culture. «ils ne connaissaient d'autres époques historiques que celles de la vie de leur mères, d'autre chronologie que celle de leur vergers, et d'autre philosophie que de faire du bien à tout le monde, et de se résigner à la volonté de Dieu.» (155). Les jeunes protagonistes ne savent rien a propos du monde, seulement se qui les entourent sur l`île. Savent ni lire ni écrire, «ils étaient ignorants comme des Créoles.» (121). Ils vivent dans un monde utopique, mais ils savent seulement la nature, et cela ne les aide pas à comprendre que le monde n`est pas l`endroit idéal qu`ils pensaient. Cet fait est évident quand Virginie pense que le maître de l`esclave maronne la pardonnerait s`il la voit demi-mort de faim. Domingue l`a vue attacher avec une chaîne au pied et avec une collier de fer à trois crochets autour du cou. Paul et Virginie pensent que les gens sont tous bon et vertueux comme les membres de leur famille. Ils ne comprennent pas la nature humaine, le société et la culture. Quand même ils passent une vie simple et heureux, et ils grandissent comme frère et sœur. Ils avaient une amour fraternelle et innocent. Durant cette période tranquille les personnages sont content avec leur vie simple et ils travaillent fort avec plaisir.

La culture intervient et la vie idéal est finit pour toujours. Premièrement, l`éducation sociale de Mme de la Tour n`est pas si facile à effacer, et, inquiété qu`elle n`a pas de fortune, et anxieux de la relation qui semble en développent entre Virginie et Paul, qui vient d`un naissance bas, elle décide d`envoyer Virginie à Paris, loin de Paul et la chance qu`ils se rendent compte de leur amour réciproque. La tante riche de Mme de la Tour a promis de prendre soin de l`éducation de Virginie, et de l`héritier. "Je lui donnerai une bonne éducation, un mari riche et tous mes biens" (165). Quand Virginie est à Paris, elle apprend la culture de la société; à lire et à écrire, mais elle n`est plus heureuse. La société est montré comme une force corruptrice qui détruit la bonheur et la vertu. Loin de son amour, Paul apprends lui aussi à lire et à écrire, et avec des livres il commence à être cultivé. Il parle avec son voisin du monde, de la société et la culture. Il apprend de sa naissance et le fait qu'il sera méprisé par la société. Il essaye de trouver une manière de changer

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