La Laitèere et le Pot au Lait

La laitière et le pot de lait

Au 17eme siècles le classicisme, mouvement littéraire et culturelle, fait sont apparition. Il s’oppose au mouvement baroque. L’art doit transmettre une morale explicite ou implicite et rechercher le naturelle. Les classiques dénonce implicitement une société étouffante due a la monarchie absolue ainsi que les défauts de l’homme . Les auteurs tel que Molière, racine, bioullo, et La Fontaine. LF  publie ses fables en 3 recueille. Il publie sont 2ème recueille qui rassemble les fables de  7 à 11 en 1799 il est dédié a Madame de Montespan, maîtresse de Louis XIV. Les fables sont plus longues que dans le 1er recueille et mets en scène des êtres humains en majorité.

La laitière et le Pot au lait raconte les malheurs de Perette.

Nous nous demanderons en quoi se récit plaisant offre une réflexion sur l’être humain et son rapport   à l’imagination. Nous verrons que dans la 1ere Strophe, le Fabuliste écrit un récit plaisant mettant en scène une jeune écervelée. Nous étudierons ensuite la 2eme strophe qui présente une moral universelle sur les défauts de l’homme.

1ere Strophe : Un récit plaisant

Des vers 1 à 6 La Fontaine présente la situation initiale, c’est un récit simple et facile d’accès, plaisant.

Vers 1, l’auteur présente l’objet le plus important du récit, le pot au lait,

Vers1 et 2 Enjambement, la jeune femme a pris ses précaution elle a calé le précieux récipient, elle a donc conscience de se qu’il représente, Imparfait de description, le pot au lait et présenter avant Perette qui est une jeune laitière qui part au marché vendre son lait. La jeune femme et décrite de façon mélioratives, LF ne fait pas de description physique mais donne des détails réaliste, qui met en avant sa jeunesse, sa fraîcheur, vers 4 légère et court vêtue. Vers 6, cotillon simple et souliers plats. Perette nous donne une indication sur sont origine sociale. Elle nous donne une indication sur son age. Suffixe en -ette . Le mouvement et l’allure de Perette sont mis en relief par les allitération en p et en t et l’assonance en é. Ces sonorité sautille comme Perette au corps légers et agile. Se sautillement préfigure son esprit rêveur car elle est encore une enfant, chacun sait que les enfants possède une imagination importante. L’hétéromètrie accélère le rythme(alternance Alexandrin et octosyllabe) et traduit bien l’allure de Perette. Au vers 3, l’emploie du verbe prétendait préfigure l’échec de cette vente. Au vers 7, notre laitière LF instaure une complicité entre l’auteur et le lecteur. Par l’emploie du déterminant possessif. La jeune Perette est présenté comme une jeune héroïne sympathique mais son imagination va la perdre . Le lecteur est plongé dans la rêverie de Perette qui commence a imaginé tous se quelle va pouvoir acheté avec le prix de son lait. Un cent d’œuf, triple couvée (hyperbole). Diligent associer au mot soin montre les efforts donné par perette. Le Discours direct exprime les fantasme de perette. Introduit l’élément perturbateur : le lait tombe au vers 23. Saute aussi et tombe Present de narration pour rendre le recit plus vivant. Le reve et la realité sont confronte avec le mot « saut ». Le retour a la realité brutale, le lait tombe adieu tous les reves. Une gradation descendante qui exprime son chagrin. LF exprime de façon abrupte (ellipse).

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