L'Homme un animal social?

Souvent les personnes n’on qu’un seul degrés de pensée qui consiste a savoir penser par soi même sans demander aucun autre point de vue et de savoir réfléchir tout en ayant certain préjugées. En vérité penser par soi même demande une certaine autonomie de pensée, d’avoir un point de vue universel donc sans préjugées et surtout de penser en accord avec soi même. Cependant en pensant par soi même on risque de s’isoler et donc de se renfermer sur soi même. En effet l’action de s’isoler peut avoir deux sens : un sens symbolique fondé sur les préjugées et un sens réel qui consiste à s’isoler par soi même c’est le cas des artistes comme Montaigne ou encore van Gogh et l’autre sens réel qui consiste à s’isoler a cause de quelque chose et donc de ne pas penser par soi même, c’est le cas de Foucault dans son recueil surveiller et punir. On peut aussi dire que le doute est une façon de penser par soi même car il empêche l’isolement. L’action de penser par soi même est essentiel cependant il faut éviter le piège de s’enfermer dans ses propres pensées pour pouvoir penser de façon universel en s’ouvrant aux autres et en même temps en accord avec soi évitant ainsi de confondre la morale et l’éthique. On pourra alors se demander dans quelles mesures la libre pensée peut elle être un danger pour la cohésion sociale et politique.

La pensée par soi même doit être au cœur de tout ; cependant il faut tout de même éviter le piège de penser par soi même. En effet nous distinguons d’abord qu’avoir une autonomie de penser, questionner le monde et analyser est essentiel ; « je pense donc je suis » Descartes. Avoir une autonomie de penser consiste à avoir une pensée éclairé, savoir penser seul et s’écarter de ce qui pourrais parasiter notre jugement. En effet cet exercice de l’autonomie a pour résultat de préserver la raison de toute passivité et donc d’une prise de risque et de courage. On peut alors dire qu’on se libère des préjugées et des superstitions car les préjugées rendent notre raison passive, comme si on forçait l’homme a un certain aveuglement de l’esprit. Dans le mythe de la caverne de Platon, celui-ci utilise une allégorie pour faire comprendre sa théorie des idées. En effet dans un monde changeant ou rien n’est parfait, la régularité provient d’un moule commun. Dans son ouvrage il dévoile aussi que les hommes on des habitudes de vie, des croyances, des certitudes, des façons de penser, de concevoir ce qui est vrai ou faux mêlant ainsi apriori et préjuges. Il dénonce aussi le déni de réalité qui consiste à rejeter des habitudes évidente et le conformisme intellectuel ou les habitudes et les idées reçus son considérés comme un défaut de la condition humaine.

Nous distinguons ensuite les pièges de la penser par soi même. En effet en pensant par soi même on risque de se renfermer dans ses pensées ; c’est le cas des dictatures car les dictateurs ne pensent qu’à la place des autres, ils décident pour eux interdisant ainsi aux gens d’avoir une autonomie de penser. En pensant à la place des autres et en s’enfermant dans leurs propres pensées, les dictateurs par exemple ont commis de nombreux crimes, guerres etc... Et se sont isoler à la fin de leur vie c’est le cas d’Hitler. De nombreux artistes peintres se sont aussi isoler comme van Gogh, Giacometti et de nombreux comédiens, acteurs comme Marlene Dietrich ou bien Simone Signoret.

Dans ses maximes, Kant nous dévoile un mode d’emploie pour savoir penser ; sa première maxime étant : penser par soi même , penser en se mettant a la place de tout autres , et toujours penser en accord avec soi même. Cependant la première étape

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