Joachim Du Bellay

Joachim Du Bellay, écrivain du 16 ème siècle faisant partie du mouvement littéraire la Pléiade, écrit pleins d’autres œuvres comme les Regrets, La Défense et Illustration de la langue française ….

Il est marqué par l’influence de la poésie amoureuse du grand poète italien Pétrarque.

« Déjà la nuit en son parc » est un sonnet extrait de l’Olive écrit en 1550. Joachim Du Bellay choisit, le lever du jour comme écrin pour présenter la femme aimée en utilisant un registre lyrique.

Comment Joachim Du Bellay exprime- t – il l’amour qu’il ressent ?

Joachim Du Bellay utilise le cadre enchanteur pour évoquer la femme aimée et pose un regard ébloui sur cette amante idéale.

Le poète utilise la composition du sonnet pour déterminer, l’idéalisation de la femme.

Ce sonnet est composé de vers décasyllabe ayant de deux quatrains et tercets.

Les deux quatrains sont une unité de sens (forte), possédant des figures de style comme l’anaphore avec le mot « déjà ».

Il utilise aussi l’imparfait pour décrire le lever du jour.

Et les deux tercets sont une unité thématique composé d’une subordonné de temps (déjà -> quand) avec un changement de temps le passé simple où l’on montre l’apparition de la femme.

Il y a aussi une référence à la mythologie au vers 11 « une Nymphe », avec une métaphore valorisante, et un éloge de la jeune femme montrant son idéalisation.

Au deuxième tercet l’idéalisation se poursuit avec l’adjectif « vive » (se trouvant au vers 9), se mot vient du Bibus qui indique l’énergie la vitalité pour souligner l’éclat particulier de la jeune femme.

Dans le premier quatrain, il utilise la thématique de la lumière qui l’oppose à l’obscurité,

(Exemple : « étoiles » (luminosité) -> « nuit » (obscurité)) qui indique la fin de la nuit.

Il emploi les verbes d’action pour animer la description ex : « fuyant » qui est du participe passé ou encore l’imparfait avec « amassait », « chassait ».

Dans le deuxième quatrain il utilise le même procédé :

Il montre le lever du jour en employant la couleur rouge ex : « rougissait » et la couleur jaune avec

L’adjectif « blondes ».

Il utilise toujours un mouvement d’animation à la description ex : « faisant grêler » qui est un verbe d’action. Il fait à nouveau référence à la mythologie latine.

Joachim Du Bellay, fait une allitération en (L) dans la métaphore de la rosée « mille perlettes rondes » qui est un groupe nominal et référence à « Défense et illustration de la langue française ».

La métaphore se poursuit donc devient une métaphore filée (« trésor », « enrichissait »).

Il y aussi une métaphore filée dans le premier quatrain avec le berger.

Dans les tercets il valorise la femme aimée.

Ex

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