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J.-J. Rousseau, Les Confessions

Note de Recherches : J.-J. Rousseau, Les Confessions. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  26 Février 2013  •  828 Mots (4 Pages)  •  1 901 Vues

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J.-J. Rousseau, Les Confessions

Madame Basile p.122 ligne 1212-p.124 ligne 1275

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Situation du passage :

Avant ce passage : Rousseau part à Turin, sur demande de Mme de Warens, pour se convertir au catholicisme. Ensuite il y a la scène avec le prêtre à l’hospice des catéchumènes. Il cherche à gagner de l’argent. Il trouve un travail chez Mme Basile.

Après ce passage : il cherche à avoir à nouveau un tête-à-tête avec Mme Basile et se fait renvoyer par le mari de Mme Basile car celui-ci est jaloux. Il va ensuite chez une dame qui le place chez Mme de Vercellis où il travaillera comme laquais et secrétaire.

Résumé du passage :

Rousseau est charmé par Mme Basile. La scène est assez théâtrale car muette et faite de gestuelles et de mouvements. Il y a un jeu de regards qui se fait par l’intermédiaire d’un miroir. Jean-Jacques Rousseau a de très fortes émotions qui le mettent hors de lui.

Annonce des axes

I) Description d’un amour platonique et passionnel

II) La découverte par Mme Basile, par la glace, que Rousseau l’observait

Analyse

I) Description d’un amour platonique et passionnel

• La passion : « j’étais embarrassé, tremblant ; je n’osais la regarder, je n’osais respirer auprès d’elle(…).. »(1212)

énumération :-appuie sa gêne face à Mme Basile.

Mais avec sa lucidité, il préfèrerait mourir plutôt que de s’éloigner de Mme Basile. (1214)

• Champs lexical passion : céder à mon transport(1231)/hors de moi(1257)/mouvement passionné(1258)

• « à force de regarder ce que je pouvais voir, et même au-delà, mes yeux se troublaient, ma poitrine s’oppressait, ma respiration, d’instant en instant plus embarrassée, me donnait beaucoup de peine à gouverner (1220-1224) »

Rousseau imagine sous les vêtements de Mme Basile. Comme ce qu’il nous disait à la page 37 l.435 « autant de Mlle Lambercier »

Il n’y a pas que Rousseau lucide qui serait prêt à mourir pour ne rien manquer, son inconscient aussi, car il « contrôle » le mental de Rousseau. Rousseau se donne tout entier, il est passionné.

• Rousseau se passionne à travers un seul sens : la vue : « dévorais d’un œil avide » (1215) « je voyais » (1228) « je la vis » (1234).

Rousseau regarde les détails des objets, de la robe de Mme Basile (la forme et non le fond).

• Amour platonique (que dans un sens, pas réciproque) : « Je la vis plusieurs fois seule de cette manière, sans que jamais un mot, un geste, un regard même trop expressif marquât entre nous la moindre intelligence. »(1234)

II) La découverte par Mme Basile, par la glace, que Rousseau l’observait

Jeu des regards

• Le

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