Grand Siècle

Au Grand Siècle, vers les années 1960, la régence d’Anne d’Autriche était maintenant à terme. Cette instabilité causée par les régences qui ont précédé a fait en sorte que les pouvoirs étaient temporaires et parfois contestés. Par conséquent, en 1961, la guerre de Troie éclate entre les Grecs et les Troyens. La tragédie classique Andromaque (1667) de Jean Racine (1639-1699) met en scène les activités des deux opposants suite à la prise de Troie où Andromaque, veuve d’Hector, et son fils doivent faire un choix décisif à savoir si elle veut oui ou non épouser le roi d’Épire qui lui est déjà fiancé avec Hermione, mais non certain de l’épouser encore.  À l’acte III, scène 8, dans un dialogue, Andromaque répond pertinemment à Céphise, sa confidente, qui lui rappelle que Pyrrhus lui a fait son ultimatum et qu’il est temps qu’elle émette sa décision à savoir si elle l’épouse non à cause des divers enjeux qui entrent en jeu, tel son fils et ses descendances. Nous verrons, en premier lieu, que les horreurs de la guerre ainsi que les souvenirs qui y sont liés peuvent avoir de grandes répercussions sur la santé psychologiques des survivants, mais surtout dans le cas de Andromaque. C’est pour elle, en deuxième lieu, que l’amour pour son fils sera démontré de façon contradictoire. À croire qu’elle l’aime à cause des répercussions qui en découlent. En effet, cet amour est forcé par la fidélité et l’image qui représente son père Hector et aussi par le fait que son enfant est d’une provenance de la lignée de Troie.

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