Germinal E.Zola commentaire de texte

Germinal E.Zola

Germinal (1885) raconte les périples d’un des derniers enfants de cette famille, Etienne Lantier, grâce à qui on découvre l’univers cruel des mineurs.

Ici, il s'agit d'une description d’une mine vue par Zola puis par Lantier, la tonalité est donc double, à la fois réaliste et épique.

Nous allons voir En quoi cette description réaliste décrit mieux encore la mine grâce à sa dimension symbolique. La description d’un lieu en référence avec un mythe est un thème fréquent dans le naturalisme du XIXème siècle.

Dans un premier temps nous allons voir en quoi ce texte est réaliste et en deuxième temps sa dimension symbolique.

En offrant au lecteur un large champs de vision, Zola dresse le portrait réaliste d'un mineur grâce à la description de scène en utilisant des termes techniques pour renseigner le lecteur, par exemple « les berlines », « la cage », « moulineurs » dépeint un cadre réaliste, Zola explique le fonctionnement de la mine, quand il parle d’ouvriers qui descendent, transport du charbon…, Cependant il critique les conditions de travail des ouvriers en donnant son point de vue négatif car il compare la mine au mythe du minautore. On y voit fréquemment les champs lexicaux de la Misère « quatre heures du matin », « pieds nus », « baraque » ce qui montre aussi la souffrance et que cela n’était pas un métier facile a l’époque.Zola nous fait donc un réel portrait du milieu minier, dans un cadre parfaitement réaliste en fonction del'époque caractérisé par la société du second empire ainsi que par la présentation d'un un monde de transition industriel difficile et placé dans un contexte obscur.

Il dit aussi que less mineurs sont comme des prisonniers en utilisant les mots « la cage », « les verrous » grâce a cela Zola nous montre encore que la vie était dur et que a cette époque cella était un des seuls moyens de gagner de l’argent et de nourrir leurs familles ils étaient prisonniers en quelques sorte de ce travail et qu’ils n’avaient pas trop le choix. Ils sont aussi comparés à des animaux et donc animalisés « viandes », « beuglement », « chair humaine » ce qui nous fait pensé a du brétaille humain qui nourrissait la mine pour la faire marcher, comme avec le mythe du minotaure ou des enfants était donner pour sacrifice. On peut voir que les termes utilisés pour décrire le puits sont ceux qu’on emploie pour décrire des partie du corps d’un animal « gosier »,  « boyaux géants ». Il utilise ensuit l’hyperbole « capable de diriger un peuple » ce qui renforce le caractère menaçant du monstre et il dit la mine est « toujours affamé » elle a toujours besoin d’homme. Il dit aussi que la mine est profonde il nous donne l’impression de descendre au enfers. Zola utilise aussi des phrases auxquelles lles il montre que le mineur risque sa vie et que la mine est dangereuse « et quand sa passe », « ah quand sa casse ».

On voit aussi le mythe de Thésée qui est remplace par Étienne.

Zola veut expliquer le fonctionnement et l’organisation de la mine. Il critique les conditions de travail et explique les horreurs et le danger de la mine.

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