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Genres Et Formes De L'argumentation, XVIIe Et XVIIIe Siècles

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Par   •  6 Juin 2015  •  480 Mots (2 Pages)  •  1 346 Vues

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1- Dans le premier extrait, la fontaine critique le roi, naïve et facile a berner et les courtisans ,dans le deuxième extrait la bruyère lui critique deux courtisant, Cimon et Clitandre, la cible commune est donc les courtisans qui sont décrit dans les deux textes tel des êtres sans moralité sans valeurs et malléables « peuple caméléon ,peuple singe du maitre » « de simples ressorts » , tel des pantins dirigé par le roi « on dirait qu’un esprit anime milles corps », prêts a tout pour le séduire « sont ce qu’il plait au prince » mais aussi comme des gens simplement agités et sans buts «on ne les a jamais vu assis », « ils ne vont nulle part »

2- Les deux auteurs de ces deux textes utilisent les moyens littéraires employés pour convaincre et persuader le lecteur. En premier lieu, pour convaincre celui qui argumente fait appel a la raison du lecteur, s’aidant d’argument et d’explication. Dans ces deux textes la fontaine et la Bruyère alterne entre le récit et le commentaire, manière d’expliquer. De plus dans le texte la bruyère l’auteur se présente comme un spectateur ; présence des guillemet montre que ce texte est un discours directe il est donc présenté comme un témoignage, une vérité. on remarque aussi l’emploi de certain verbes didactiques « je définie » et des verbes d’appréciation « on dirait » . En suite l’auteur utilise des questions rhétorique comme «qui même les a vu marcher ? » et « comment eut-il pu faire ? » ici l’auteur n’attend pas de réponse il l’impose comme une vérité. En second lieu, l’auteur cherche a persuader le lecteur en l’impliquant le lecteur « jugez », « nous » et le pronom indéfini « on » il le prend a témoins.

3- C’est deux textes sont des critiques moqueuses dont la cible commune est les courtisant ces textes font donc partie du registre satirique, un récit qui s’attaque a quelqu’un ou quelque chose en se moquant par exemple « rugir en leurs patois » , ici rugir est le cri du rois il est donc considéré comme un son noble il y a donc un décalage avec le palois qui ne l’est pas. Ou encore « la Reine avait jadis Étranglé sa femme et son fils » le vers commence comme un conte et se termine d’une façon violente, « ils portent au vent, attelés tous deux au char de la Fortune, et tous deux fort éloignés de s’y voir assis »il compare les courtisans a des chevaux qui porte la calèche du roi la téte haute mais qui ne s’assoirons jamais prêt du roi, l’auteur met en évidence ce que les courtisant pense être et ce qu’ils sont réellement , « il ne leur manque aucun des talents nécessaires pour s’avancer médiocrement » ils possède le talent d’être médiocre

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