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Français Cned, étude paratextes

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Par   •  6 Mars 2014  •  1 473 Mots (6 Pages)  •  882 Vues

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1. ETUDE DE PARATEXTES

1.1 Dans le document ½ nous pouvons relevez une présentation de Jacques Prévert qui nous donne des informations détaillé du poète ainsi qu’une date précise de l’évènement qui a inspiré Jacques Prévert « Août 1934 ».Dans le doc 2/2 nous pouvons distinguer en haut du texte, un astérisque qui nous renseigne que ce poème est dédier a Marianne Oswald qui est une amie de Prévert et tout en bas, on nous indique l’auteur du poème, dans quelle journal il est sorti c’est-à-dire l’édition des paroles et la date qui est de 1934.

1.2 Dans le document 2, nous pouvons relevez un chapeau en haut de l’éditorial qui résume l’article de presse, cet article de presse nous fait part des centre fermé par Luc Ferry et Nicolas Sarkozy pour les adolescents. En dessous du chapeau on voit le titre « JEUNES DELINQUANTS ENTRE EDUCATION ET PUNITION » qui nous fait part clairement du sujet. On nous indique que cet article est écrit par Jacques Bourquin avec une présentation furtif. cette article est tiré du journal Le monde diplomatique éditer en juin 2002.

2. IDENTIFICATION DES GENRES, DES TYPES ET EXTRACTION DU PROPOS DIRECTEUR

2.1 Le document 2/2 nous indique qu’il s’agit d’un type descriptif, argumentatif

et d’un genre poétique. Dans son poème Prévert dénonce les jeunes pensionnaires qui se sont évadé et qui ont brulé les bâtiments de belle-ile-en-mer en Août 1934 pendant l’époque contemporaine.

2.2 Le document 2 nous indique qu’il s’agit d’un type informatif et que le genre est

L’article de presse. Cet article de presse explique qu’en 1860 dans l’époque contemporaine les enfants pauvres et vagabonds ne sont plus considérées comme innocent, et que l’heure n’est plus à l’éducation mais bien à la punition en les envoyant aux camps de redressement mais à partir de 1935 les opinions changent et les premières réformes auront lieu entre 1937 – 1938 pour que les mineurs délinquants revienne dans un cycle pédagogique uniforme.

2.3 Le document 3 nous indique qu’il s’agit d’un type informatif et que le genre est

un éditorial .Cet éditorial résume le film réalisé par Emmanuelle Bouchez qui raconte la dure histoire de 1934 lors des colonies pénitentiaire a belle ile en mer crée pour les enfants aux XXème siècles qui faisait souvent la mort de certains enfants et de cruauté envers les autres.

3. SELECTION D’IDEES DANS UN DOCUMENT

D’après l’article, de Jacques Bourquin intitulé « Jeunes délinquants entre éducation et punition. Le fantôme des maisons de redressement » paru dans Le monde diplomatique en juin 2002, les établissements fermés pour jeunes délinquants ont échoué.

Avant 1860, face aux mineurs délinquants, l’accent est mis sur l’éducation : l’enfant est considéré comme un être foncièrement bon que certaines circonstances ont poussé à la faute. On va donc essayer de l’accompagner par l’apprentissage de façon à l’entourer de repères.

Mais, selon Jacques Bourquin, l’année 1860 marque un virage net et on entre brusquement dans une période répressif. Cette période s’étale de 1860 à 1912 et s’appuie sur une image de l’enfant radicalement différente : le délinquant est, en quelque sorte, programmé génétiquement pour devenir un criminel. Il n’est donc plus question de l’éduquer, il faut abriter la société de sa présence nocive et, pour cela, on crée des maisons de correction où les pensionnaires sont incarcérés longtemps et logés comme des animaux en cage. Dans ces lieux, on « redresse » ceux qui ont été conçus déviants, on les « reprogramme » ; et s’ils sont rétifs, on les envoie dans des sections disciplinaires de l’armée qui achèvera la tâche. L’arme majeure du dressage est le travail, non plus en tant qu’apprentissage, mais en tant qu’outil apte à mater les esprits forts. Au début du 20ème siècle, par l’action combinée de la Troisième République, soucieuse d’éducation en général, et de comités de soutien aux enfants dans les tribunaux, on aboutit à la création du premier tribunal pour mineurs. Toutefois, cette mesure progressiste ne change rien aux maisons de redressement, devenues des « bagnes » dénoncés publiquement par un journaliste. Il est rejoint par d’autres en 1934, après la révolte des petits prisonniers de Belle-Île-en-Mer, laquelle émeut l’opinion publique elle-même. Le gouvernement renonce alors à considérer le vagabondage des mineurs comme un crime et d’autres mesures suivent en 1937 et 1938 qui visent toutes à réinsérer les jeunes délinquants par le biais de l’apprentissage dans des sections

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