Fiche lecture le HORLA de Maupassant

LE HORLA

Biographie :

Guy de Maupassant

Henry-René-Albert-Guy de Maupassant, alias Guy de Maupassant est un écrivain de Romans et de Nouvelles, il est Français née le 5 août 1850 au château de miromesnil à Tourville-sur Arques, il est mort le 6 juillet 1893 à Paris. Les principale œuvres qu’il a écrit sont :

-Une vie

- Bel ami

-Pierre et Jean

-Boule de suif

-Le Horla

-La parure

-Le rosier de Madame Husson

Schéma narratifs :

Le Horla

1.Situation initial :

Dans la situation initiale, nous avons un personnages inconnue nous ne connaissons pas sont nom, il ne l’indique pas. Il écrit tout simplement dans sont journal.

Il raconte qu’il est allongé sur l’herbe en face de la maison ou il a grandit. Il dit qu’il a passé une bonne journée et qu’il aime le pays où il vie, le personnage y est attaché car ces ancêtres y ont vécu.

« 8 mai-Quelle journée admirable! J’ai passé toute la matinée étendu sur l’herbe, devant ma maison, sous l’énorme platane qui la couvre, l’abrite et l’ombrage tout entière.

J’aime y vivre parce que j’y ai mes racines, ces profondes et délicates racines, qui attachent un homme à la terre où sont nés et morts ses aïeux qui l’attachent à ce qu’on pense et a ce qu’on mange, aux usages comme aux nourritures, aux odeurs du sol, des villages et de l’air lui même » ( Pages :17 )

2.Élément perturbateur :

Le personnage se sens mal, il ne sais pas s’il est triste ou malade. Il est confus.

« 12 mai- J’ai un peu de fièvre depuis quelques jours ; je me sens souffrant, ou plutôt je me sens triste. »

( Pages : 18 )

3.Péripéties :

       Le personnage est apeuré, il se pose pleins de questions sur se qu’il lui arrive.

Il fait le même rêve toutes les nuit, qui l’effraies un peu plus chaque fois, et lui fait perdre la raison.

Il fait une expérience qui l’apeure encore plus, il décide de rendre visite à ça cousine Mme Sablé, qui a une amie marié au docteur parent.

Il s’occupe des maladies nerveuses, Il lui rend visite et assiste a quelque chose, au qu’elle il n’y croit pas au début, mais il fini par être stupéfait.

4.Élément de résolution :

Le personnage, après plusieurs jours de détresse décide de brûler ça maison pour tuer le Horla. Mais il part plus loin dans sa folie et se dit que c’est une force surnaturel et qu’il ne peut donc pas mourir par le feu, comme un être humain et que si il veut le tué, qu’il devra se tué lui.

5.Situation final :

      Le Horla fait perdre la tête au personnage et il fini par brûler ça maison.

« Je regardais ma maison, et j’attendais. Comme se fut long ! Je croyais déjà que le feu s’était éteint tout seul, ou qu’il l’avais éteint, Lui quand une des fenêtre d’en bas creva sous la poussée de l’incendie, et une flamme, une grande flamme rouge et jaune, longue, molle, caressante monta le long du mur blanc et le baissa jusqu’au toit. » ( pages : 54 )

Selon lui cela serait la seul solution pour mettre fin au Horla, ainsi qu’a sa folie mais il oublie ces domestique et il cherche de l’aide au près des habitants mais il est trop tard il pense avoir capturé le Horla, il pense l’avoir tué, il pense avoir mis fin a sa souffrance puis il se pose de nouveau des questions et si le Horla ne mourais pas comme un être vivant puisqu’il est une force ? Surnaturel il fini par pensé que le Horla est toujours vivant et que le seul moyen pour vaincre cette force surnaturel est qu’il doit se tué.

« -Mort ? Peut-être ?… Son corps que le jour traversait n’était-il pas indestructible par les moyen qui tue les nôtres ?

S’il n’était pas mort ?...seul peut-être le temps a prise sur l’Être Invisible et redoutable. Pourquoi ce corps transparent, ce corps inconnaissable, ce corps d’Esprit, s’il devait craindre, lui aussi, les maux, les blessures, les infirmités, la destructions prématurée ?

La destructions prématurée ? Toute l’épouvante humaine vient d’elle ! Après l’homme, le Horla.

- Après celui qui peut mourir tous les jours à toutes les heures, à toutes les minutes, par tous les accidents est venu celui qui ne doit mourir qu’a son jour, à son heure, à sa minute, parce qu’il a touché la limite de son existence !

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