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Fiche De Lecture : Un barrage contre le Pacifique, Marguerite Duras, 1950

Mémoire : Fiche De Lecture : Un barrage contre le Pacifique, Marguerite Duras, 1950. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  27 Janvier 2014  •  2 851 Mots (12 Pages)  •  6 433 Vues

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Un barrage contre le Pacifique – Marguerite Duras 1950.

- Quels sont les thèmes abordés dans le livre ?

Le livre aborde plusieurs thèmes pendant le cours de l’histoire, mais c’est évident que le principal est le désir : le désir de richesse, de ascension sociale, de faire fortune et pour une fois dans la vie de la mère et ses enfants Joseph et Suzanne être heureux et ne devoir plus attendre. Pendant tout le romans on attend, on attend quelque chose ou quelqu'un, un rencontre qui puisse apporter rêve et argent. Du début du livre on comprend la tristesse qu’éprouve la mère, qui a renoncé à tout type d’amour, qui a utilisé tout son argent et son espoir pour acheter cette concession en Indochine, qui ne lui donne rien, qui la rende malheureuse et pauvre. Elle voudrait s’enrichir, faire fortune, être heureuse une autre fois dans sa vie. Comme elle, ses enfants n’aiment pas vivre dans la plaine, vivre le jour, ils attendent une femme et un homme riches qui puissent les faire échapper de leur situation, aller vivre dans la ville, riches sans problèmes, ils tentent d ‘échapper à la misère par le désir, en attendant.

En outre, même si le désir et l’attente sont les thèmes qui selon moi sont les principaux dans le livre, on trouve la description du colonialisme, de méthode de concessions en Indochine dans la première moitié du XX siècle, avec la corruption de l ‘administration, les femmes qui doivent se prostituer, les bordels, les riches colons qui s’en profitent et vivent riches et heureux dans ces lieux de misère et de malheur des gens.

- Raconte ce qui se passe dans le livre comme si tu étais un des protagonistes.

Je m’appelle Joseph, et ma vie est simple : un échec après l’autre. Je vis avec ma mère et ma sœur Suzanne dans une plaine tout près de Ram, en Indochine. Ma mère a acheté ce lieu il y a 15 ans environ. Elle voudrait faire fortune avec les cultures, mais le Pacifique chaque année détruit nos cultures, et avec elles aussi les barrages qu’on a cherché de construire pour l’arrêter. On avait acheté un cheval, il durait huit jours : il était trop vieux et il est crevé tout d’un coup. Notre vie était complètement misérable jusqu’au jour où ma sœur à rencontre M. Jo. Je le détestait cet homme la, mais il était riche, et selon ma mère c’était bien pour nos économies. Il nous a donné un phono, combien j’aime les phonos, et même une bague à ma sœur, en outre il nous amenait tous les jours à Ram. Malgré tout je ne pouvais pas le voir, donc j’ai dit à ma sœur de terminer la « relation ». La bague était à nous, et dans les jours suivantes on a vécu à « la ville » à l’Hôtel Central de Carmen, une amie, en cherchant de vendre ce diamant pour 20 mille francs, prix que M. Jo avait dit. C’est moi que je l’ai vendu, après être disparu avec une femme pour des jours. Je l’avais vendu à cette femme, et je l’ai trouvé à nouveau dans ma poche le lendemain.

Pendant ce temps, ma sœur avait fait la connaissance d’un autre homme : Barner. Aussi avec lui c’est tous terminé en peu de temps.

On était retournés à la concession, jusqu’au jour où je suis parti avec Lina, la femme que j’ai connu au cinéma de « la ville », celle à laquelle j’ai vendu la bague, celle qui est ma petite amie maintenant. Je suis parti avec elle, et ma mère était détruite, mais la vie à la concession continuait comme toujours. Ma sœur a commencé à attendre sur le pont devant notre maison qui un homme passait pour échapper avec lui. C’est Jean Agostin qui est passé, le même qui a vendu pour la deuxième fois le diamant pour onze mille francs, et qui a fait l’amour avec ma sœur pour la première fois. En effet quand ma pauvre mère est morte c’est lui qui m’à appelé, et c’est lui que j’ai trouvé avec ma sœur dans le bungalow.

Je suis sûr que la morte de ma mère c’est la faute à moi. Je suis disparu avec une femme pour aller vivre à « la ville », j’ai donne seulement deux fois des nouvelles, et j’ai découvert que mes lettres étaient pleines des fautes d’orthographe, et ma mère, institutrice, elle s’en faisait beaucoup, parce que j’étais pas à la maison, et ignorant. Elle est morte à cause de son fils.

- Page de couverture.

Selon moi cette couverture est assez bonne pour le livre, mais il pourrait y êtres des meilleurs aussi, plus claires. De toute façon, si je l’ai bien comprise, elle évoque un des thèmes principaux du livre, l’attente de quelqu’un qui porte la richesse. En effet on peut voir sur la couverture un pont, que j’imagine arrive au bungalow, comme dans le livre on parle de ce pont en face du bungalow, sur lequel on voit trois figures. Ces trois personnes pourraient être ou Joseph, Suzanne et la mère ou il pourraient êtres trois indigènes qui vivent dans la plaine. Je l’ai imaginé come Joseph et sa famille, mais les vêtements qu’il portent ne me convainquent pas. En tous cas, leurs visages assez ennuyés et tristes démontrent l’attente, l’attente d’une rencontre qui puisse apporter joie, argent et rêve.

Puis sur ce pont on y voit une voiture, assez belle, avec un homme bien vêtu avec un costume blanc. Je crois que cet homme pourrait être M. Jo, mais aussi Lina ou Barner, ces personnages qui au cours de l’histoire ont donné un espoir d’amélioration de la vie de la mère, de Joseph et de Suzanne, un espoir d’une vie meilleure et riche.

- Choisis une page.

J’ai choisi de joindre à la fiche deux pages : 126 et 127. Elles m’ont frappé le plus, car on découvre la vraie essence de la pensée générale de la famille et surtout de Suzanne et sa mère. Ici M. Jo, riche courtisant de Suzanne, est en train de lui montrer trois diamants, parmi lesquels elle peut choisir celui qu’elle aime le plus comme cadeaux. Maintenant je me focalise sur la façon de choisir le diamant que Suzanne a, plutôt que sur la motivation pour laquelle M. Jo lui donne cette bague, elle même frappante. En effet, comme on peut lire dans certains passages, en particulier dans le dialogue entre elle et M. Jo, elle ne désir pas avoir le diamant le plus beau, ce qu’elle aime le plus, que lui plairait les plus, mais le plus cher. Elle confesse aussi, qu’elle ne va pas le garder pour rien au monde, elle veut celui avec le plus de valeur pour en gagner au moment où ils vont le vendre. Elle est intéressée à son prix, et

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