Extrait de l’assomoir, Zola

La nourriture au centre de la scène

* une abondance de nourriture avec une grande précision :  « la viande », «  de gros morceaux » , «  nourriture » —> scène puisée dans le quotidien —> impression de dispersion des différents modes levres de l’oie, ils sont éparpillés dans la description (blanc, carcasse, cou, peau et cuisse).

*la gourmandise :des mangeurs constamment dans l’exces —> nombreuses hyperboles : «  indigestion », «  gloutonne », « gourmandise », « gourmande », plus tout un vocabulaire qui connote la démesure :  « avaler », « baffrer » —> les convives sont réduis à une sorte de récipient de nourriture : «  s’emplissait », «  les bedons se gonfler », « ils petaient dès leur peau ».

Un tableau saisi sur le vif

*scene marque par du mouvement (cf verbes d’actions): « se dérangeait », « gratter », « bouche ouverte ».

La précision de la desciptiô nous donne l’impression d’assister à la scène avec la é passage du discours indirect au discours indirect libre .

*scene qui mobilise les sens est créer une impression sur le lecteur : -le goût : « pain »

-l’ouie: « gloussement »

-le toucher : «  barbouiller » etc .

—> champ lexical du regard est très important dans la scène il nous en rend spectateur .

Impression =désordre

—> technique narrative rap’elle la peinture des impressionnistes qui sont de la même époque que Zola.

Le triomphe parant de Gervaise et Coupeau

*ils se haïssent à un niveau supérieur (sociale) car ils profitent eux mêmes d’un festin inhabituel : « ne parlant pas, de peur de perdre une bouchée », «  on se paie qu’un gueuleton par-ici par-là », «  on aurait dit des derrières de gens riches »

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