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Espagnol dm

Étude de cas : Espagnol dm. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  9 Janvier 2016  •  Étude de cas  •  551 Mots (3 Pages)  •  638 Vues

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quand mon grand-père est arrivé exilé à Veracruz, un territoire lointain et chaud qui n'était pas bien sûr dans ses plans, il s'est trouvé avec d'autres républicains exilés qui étaient dans la même situation qu'ils(elles) étaient arrivés là avec une main derrière et l'autre avance parce qu'ils(elles) avaient perdu son pays, sa famille, sa maison et ses choses, ces conditions requises minimales dont n'importe lequel a besoin pour se sentir personne. Comme ces républicains n'étaient pas ni politiques, des écrivains, ni des artistes, ni des maîtres, cela avaient la corporation qui les protégeait, ni aucune classe un lien avec les républicains ce que coalicionaban dans la ville du Mexique, ils(elles) n'ont eu de plus remède que chercher la vie là, dans une pleine forêt torride, où peu à peu ils(elles) sont sortis en avant; exactement à la différence de ces Indiens qui voyageaient en Amérique pour faire

ils(elles) n'ont eu de plus remède que chercher la vie là, dans une pleine forêt torride, où peu à peu ils(elles) sont sortis en avant; exactement à la différence de ces Indiens qui voyageaient en Amérique pour faire une fortune, ceux-ci ils(elles) ne faisaient plus qu'essayer de traiter son infortune. Mais à la fin ils(elles) l'ont obtenu, et tandis qu'ils(elles) espéraient que vous décrétiez une amnistie qui leur permettait de revenir en Espagne, ou à que la démocratie d'occident mettait un remède à son coup d'État, ou à que, avec tout respect, vous passerez à une meilleure vie, une affaire prospère a été inventée, ayant des enfants et des petits - fils mexicains et en lui(leur) construisant chacun qu'ils(elles) n'ont jamais pensé qu'ils(elles) auraient : une maison mexicaine pour toujours.

. Je n'ai jamais pensé passer des quatre-vingt-dix ans. Mais pour raconter ma longue péripétie, je me dois me déplacer le temps derrière, quand j'avais vingt-trois. À ce moment dans, malgré ma jeunesse, que se brisait pour moi l'espérance quand la frontière de la France avait passé, en février 1939.
Dans le poste(place) de Perthus m'a touché être témoin des scènes terribles, qui se joignaient à la vue dans la retirée de la Catalogne :
des milliers de femmes, d'enfants et de vieillards, en plus des soldats, en fuyant avec la panique de la barbarie qui nous mitraillait impuni - 16 Alphonse Domingo un esprit depuis le ciel. Je garde de ces jours l'image d'une femme qu'un enfant mort portait dans les bras. Il(elle) ne voulait pas se détacher de ce gamin de deux ou trois ans, ainsi que nous terminons par la monter(lever) à la camionnette. Ni sur la route, ni même dans la frontière, nous trouvons une seule une ambulance; seulement les gendarmes français, sans doute enseignés, qui n'avaient pas avec nous de pitié, ses mots en résonnant comme fouets dans nos dos : Allez!, allez!, vite, allez aux camps!
Quand nous entrons en France, nous étions une armée vaincue, un peuple(village) vaincu. Les conditions, un bien est certain, elles étaient pénibles, mais la douleur n'était pas dans dormir sur les plages au nord de la station balnéaire d'Argelès-sur-Mer, ou dans les baraques immondes d'Arlet, Il Barcarès, Saint-Cyprien, Vernet,
Bram, Septfonds, Gurs ou d'autres champs où ils(elles) nous avaient mis les français. Non, la douleur était à l'intérieur de nous, se montrait au visage, prenait une situation dans le corps, l'inquiet récipient où ils(elles) remuaient trois ans peripeties

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