Epreuve anticipée de français, épreuves orales de l'EAF
Cours : Epreuve anticipée de français, épreuves orales de l'EAF. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar amande137 • 3 Janvier 2013 • Cours • 915 Mots (4 Pages) • 1 128 Vues
Nouvelle épreuve anticipée
de français
Épreuves orales de l’EAF
Quelques exemples de
questions
Avertissement
La note qui suit propose une liste non limitative d’exemples de questions qui peuvent être
posées aux candidats dans le cadre de l’épreuve orale anticipée de français.
Elle ne limite en rien la liberté des examinateurs et suggère simplement certaines
démarches susceptibles de faciliter le travail d’élaboration des questions.
Elle ne prend de sens qu’en fonction des textes existants :
- pour l’épreuve écrite : note de service n°2001-117 du 20 juin 2001, parue au BO n°26
du 28 juin 2001 ;
- pour l’épreuve orale : note de service n°2003-002 du 8 janvier 2003, parue au BO n°3
du 16 janvier 2003.
Quelle formulation des questions ?
Les questions doivent être claires et accessibles. Elles ne peuvent exiger du candidat
un travail de décryptage préalable que l’emploi d’un métalangage exagérément technique
rendrait nécessaire.
La première question relève d’une tournure interrogative directe :
Ce texte vous paraît-il… ? ou En quoi/Pourquoi/Comment/Dans quelle mesure ce
texte… ?
La seconde question peut être posée de façon plus indirecte :
Vous vous demanderez si…, Vous vous interrogerez sur … ou utiliser une formule
destinée à orienter la réflexion de l’élève : Vous réfléchirez à…
Quelle est la fonction de la question ?
Elle porte sur un texte. C’est donc le caractère spécifique du texte qui appelle la
question.
Elle porte sur un texte déjà connu du candidat. Elle n’appelle donc pas une
découverte du texte mais sa relecture, en fonction d’une orientation précise, indiquée
par la question.
Elle appelle l’étude d’un aspect essentiel du texte. Elle n’induit donc ni une étude
pointilliste ni une analyse qui se voudrait exhaustive.
Elle permet au candidat d’aborder tout à la fois le sens et les choix d’écriture,
- soit en partant de l’observation pour élaborer progressivement une interprétation,
- soit en partant d’une interprétation pour la justifier par l’étude des choix d’écriture.
Elle permet d’évaluer les capacités du candidat à :
- comprendre la question qui lui est posée,
- comprendre, au sens littéral du terme, le texte qui lui est proposé,
- trouver dans ce texte des éléments de réponse à la question en prenant appui sur sa
connaissance de l’objet de l’étude,
- mettre en relation ces différents éléments pour parvenir, en prenant appui sur le texte,
à une réponse construite.Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche-Direction de l’enseignement scolaire- EAF-Épreuves orales-Quelques exemples de questions
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Quelles questions possibles ?
Questions portant sur l’ensemble du texte donné, mais pouvant prendre appui plus
particulièrement :
- sur le titre :
En quoi le titre annonce-t-il / éclaire-t-il le texte ?
- sur un court passage, indiqué par l’examinateur :
En quoi tel passage est-il une clef possible pour la lecture du texte ?
En quoi tel vers est-il représentatif de l’ensemble du poème ?
En quoi le premier vers est-il annonce-t-il le déroulement de l’ensemble du poème ?
En quoi l’anecdote des lignes X à Y sert-elle la démonstration ?
- sur la comparaison de deux brefs passage, indiqués
...