Étude de la pièce de théâtre Dom Juan de Molière: La Relation Maître Et Serviteur

Dans la pièce de théâtre de Molière, on peut remarquer que Sganarelle craint son maître acte I scène 1 « la crainte en moi fait l’office du zèle» et revient sur ces propos des que Dom Juan arrive à l’acte I quand Sganarelle voit arriver son maître, il est affolé et prévient Gusman qu’il ne doit pas répéter les critiques qu’il a dit «mais s’il fallait qu’il en vînt quelque chose à ses oreilles, je dirais hautement que tu aurais menti » mais cette crainte peut aussi être vu a l’acte II scène 4 lorsque que Sganarelle mais en garde Mathurine et Charlotte et que Dom Juan revenant il dit l’inverse de ces précédent propos « Cela est faux ; et qui conque vous dira cela, vous lui devez dire qu’il en a menti […]et n’en a point abusé d’autre », Cette crainte peut être explique par la brutalité de Dom Juan sur Sganarelle comme à la scène 5 de l’acte III : « Je t’assomme, si tu ne parles » ou encore «rouer de mille coup» à l’acte IV scène 1. Mais Dom Juan utilise aussi la violence moral par de par de nombreuse insulte maître sot », dans la deuxième scène, « coquin, tu fuis quand on m’attaque ? », « peste soit de l’insolent », à la scène 5 de l’acte III. Cette violence atteint son apogée à la fin de la scène II lorsqu’il apprend que douze homme sont a sa recherche il lui impose à Sganarelle de prendre ses habits ce qui le mettrai en danger de mort. Cette brutalité marque la place de Dom Juan en t’en que maître dans ce roman et de Sganarelle en t’en que Serviteur. Comme on peut le voir dans l’acte I scène 1 lorsque Sganarelle parle a Gusman, de Dom Juan en disant « mon maître » ou encore dans le même acte « tu sais que, par son ordre, je partis avant lui ». Mais leur place est aussi très marquer par de nombre ordre de Dom Juan donné à Sganarelle « Prépare-toi donc à venir avec moi, et prends soin toi - même d’apporter toutes mes armes », « Madame, voilà Sganarelle qui sait pourquoi je suis parti. […] Veut tu répondre, te di-je ? » ou au début de la scène III lorsque Dom Juan et Sganarelle sont égarés dans la forêt et qu’il voulant demander la route au pauvre, c’est Sganarelle qui lui parle et non Dom Juan. Lors du duel on peut remarquer que Sganarelle ce cache car il a peur de combattre et préfère laisser cette tache pour son maître. Les derniers mots prononcés par Sganarelle sont eux aussi très explicite « Mes gages ! mes gages, mes gages ! ». Ce comportement entraine des critiques nombreuses de Dom Juan par Sganarelle avec de nompbreuse injure « le plus grand scélérat que la terre est jamais portés », « une bête brute », « un méchant homme ». Il lui reproche de ne pas se comporter comme le devrait sa condition de noble. Il n’apprécie pas que sont maître profite des femmes comme il le fait il essaye donc parfois de les prévenir scène 4 de l’acte II : « Mon maître est un fourbe ; il n’a dessein que de vous abuser », « c’est un épouseur à toutes mains » ou encore il éprouve de la pitié envers Elvire « Si le remords le pouvait prendre», « Pauvre femme ! » à l’acte IV scène 6. Mais Sganarelle lui reproche aussi sa non croyance « un hérétique, qui ne croit ni ciel, ni enfer » car Dom Juan ne croyant en rien chose en arithmétique « Je crois en deux et deux sont quatre, Sganarelle et que quatre et quatre sont huit. ». Il ne l’acceptant pas est voulant pour une très sévère punition. « Suffit qu’il faut que le courroux du ciel l’accable quelque jour ». Parfois il ne peut se retenir de dire quelque chose mais se rétracte tout de suite à la scène 6 de l’acte IV : « Eh ! mourez le plus tôt que vous pourrez

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