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Analyse partielle Sur le roman Une Vie De Guy De Maupassant

Compte Rendu : Analyse partielle Sur le roman Une Vie De Guy De Maupassant. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  26 Décembre 2012  •  295 Mots (2 Pages)  •  4 676 Vues

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Lecture analytique (analyse partielle).

Introduction :

Ce roman de Guy de Maupassant a été publié en 1883. Il est composé de 14 chapitres et nous relate les rêves et les désillusions de Jeanne Le Perthuis des Vauds, fille du baron. Nous allons nous intéresser plus particulièrement à la scène de son accouchement au chapitre 8. La question dont cette analyse fera l'objet est En quoi cette scène d'accouchement est-elle réaliste ?

I. Une scène réaliste.

a) Des souffrances insurmontables.

Le texte est assez détaillé pour que nous puissions comprendre à quel point les souffrances que Jeanne endure sont importantes.

Témoin le champ lexical de la souffrance employé dans le texte : plainte, douleurs, violente, épouvantables, cris, gémi, souffrir, plus de force, convulsion effroyable, spasme cruel, souffrance, douloureux, épuisé.

En effet, ses souffrances lui sont tellement insupportables qu'elle n'a même plus la force de penser. Sa «crise» (l.20) la vide de toute ses forces. Le texte précise : «toute idée s'éteignait en elle», ce qui montre bien que les douleurs sont intenses. L'auteur ajoute beaucoup de détails dans sa description des souffrances de Jeanne. Le lecteur peut ainsi mieux se représenter la scène et essayer de se mettre à la place du personnage. Ce sont des mots assez forts que l'auteur utilise pour exprimer toute la souffrance que Jeanne éprouve : «Mais une convulsion effroyable la saisit, un spasme (…) cruel.» (l.24). Les mots «effroyable» et «cruel» sont utilisés pour accentuer particulièrement le fait que Jeanne est en train d'endurer de fortes douleurs. Cela donne du poids à la description, comme si l'auteur voulait que ses lecteurs soient marqués par les souffrances de Jeanne. L'idée de «cris involontaires» (l.14) montre également qu'elle souffre au point de crier sans le vouloir. Cela nous montre que les souffrances de Jeanne sont bel et bien insurmontables.

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